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marc
| Envoyé jeudi 22 février 2001 - 16h45: | |
S ouverture sifflante ST rapidement coupée par le T STé coupure atténuée par le é, un brin adoucie STéF et on repart dans le vent, STEFA en coupant de nouveau, de manière bien posée STEFAN coupure à nouveau, mais consone arrondie, le nasal l'emporte, STEFANI la dureté du I contraste bien avec celle du N amusant comme si une coupure de consonne un peu affaiblie devait être renforcée par le I STEFANIE arrondissement final, une fin précise En synthèse le sentiment fort de va et vient (3) approche, rupture, approche, rupture, avec des degrés de force divers, et un contour assez précis tout de même. Ceux qui se borne à STEF sont des rustres, ceux qui n'attendent pas la finale, ou ne tentent pas un troisième assaut perdent tout. Une boisson qui va et qui vient, on pense au verre et à ce liquide quelqu'il soit qui bouge à l'intérieur, le mouvement atténué par une caractéristique un peu grasse... Je vois tourner un sauternes, ..., on ne se refait pas, un rieussec 1985... |
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