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Jade (Jade)
Identificateur : Jade
Inscrit: 11-2001
| Envoyé vendredi 30 janvier 2004 - 22h11: | |
Bonsoir Marie-Christine, Ce que j'apprécie sur ce site de poésie, c'est que l'égalité, comme la courtoisie... , semblent être des priorités essentielles. Chacun a liberté de dire, non l'un plus que l'autre " les autres c'est nous " (Virgule) Merci d'avoir donné ton sentiment ! Bonne soirée, Amitiés Jade * * |
   
Chryspoo (Chryspoo)
Identificateur : Chryspoo
Inscrit: 12-2001
| Envoyé vendredi 30 janvier 2004 - 20h04: | |
Je suis d'accord avec toi Jade |
   
Mariechristine (Mariechristine)
Identificateur : Mariechristine
Inscrit: 12-2003
| Envoyé vendredi 30 janvier 2004 - 18h44: | |
Même si je n'ai pas voie au chapitre, je me permets de dire qu'à mon sens, il le mérite. J'apprécie beaucoup son écriture chaloupée. MC.E |
   
Jade*§
| Envoyé lundi 26 janvier 2004 - 18h57: | |
Et pourquoi pas une porte ouverte à double tour une porte d'espace où s'étirent les vagues lentes, les vagueliles, les ondes des mots, leur détresse, leur chagrin, leurs reflets, leur miroir, un espace sur ce site comme un sentier dans la plaine, un sentier découvert sur les poèmes de Virgule, avec ou sans... Qu'en pensent les amis du site et qu'en pense Marc ? bien à toi Virgule. |
   
Virgule
| Envoyé lundi 26 janvier 2004 - 18h39: | |
Je sais ! Tu ne vois pas… pourtant je me souviens Dans ce passé banal la vieillesse assassine ! Comme un soleil dissout... dans la paume des mains La porte refermée... Au hasard de nos spleens Les autres c'étaient nous… Hier… je me souviens ! On s'était reconnu au détour d'une fête Sans même se connaître Osant à peine voir Cet ange du passé dans le noir de nos têtes Les autres c'étaient nous… Hier ! Tu te souviens ? Avec ce goût perdu... Le sucre de tes lèvres Ta source d'infinie... Tes parfums défendus Tes chemins dilués... noyant dans une fièvre Tant de mots insensés Qui ne te touchent plus… Avec nos yeux plongés… Dans ces îles lointaines La mer… dans ses copeaux... Ce phare... t'en souviens-tu ? Nos mains se rencontraient... aux heures qui se traînent Et du sel sur ta peau ? Comme un soleil fondu... Je sais ! Tu ne vois pas… Tellement tu me manques Dans ce passé banal la vieillesse assassine De tant de souvenirs… Nos vagues… Nos calanques À la porte du cœur… Ouvert à double tours
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