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Message |
   
ACH
| Envoyé lundi 15 décembre 2003 - 19h40: | |
Il est très joli quand même ce poème, il dégage quelque chose, je trouve... |
   
Aldébaran
| Envoyé mercredi 10 décembre 2003 - 15h51: | |
Merci pour cette définition. Cette rupture était voulue, ce n'était peut-être pas très habile mais elle devait accentuer l'impression de malaise. Je n'avais pas envie d'écrire un joli sonnet à ce moment là. Amicalement |
   
marc (Marc)
Identificateur : Marc
Inscrit: 8-2001
| Envoyé mardi 09 décembre 2003 - 23h36: | |
On trouve comme définition de la poésie la suivante : "Art de combiner les sonorités, les rythmes, les mots d'une langue pour évoquer des images, suggérer des sensations, des émotions" les textes que vous proposez rentrent à mon sens dans cette définition. Je relève une petite rupture de rythme ici : "Ni le premier ni le dernier il n'est, à partir." Avez vous essayé de le lire à haute voix ? En toute amitié Marc
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Aldébaran
| Envoyé mardi 09 décembre 2003 - 2h18: | |
___________ Une étroite goutelette glisse sur ma peau, et dévale mon visage. Sois un homme mon fils. Tu es mort mon père. Haine et peine se succèdent en mon coeur, pour subir cette traversée mélancolique. Je m'isole et m'affole, pour rien. Ni le premier ni le dernier il n'est, à partir. Il est mort. D'accord. Vit sans lui. Sourires hypocrites, tourments camouflés en joie. Je m'enfonce plus profond tout au fond de moi. _________ A moi de choisir de partir de ne plus mentir. Las, lâche ! Je reste et peste, dans ma cervelle sombre : des décombres. |
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