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franz (Franz)
Identificateur : Franz
Inscrit: 9-2000
| Envoyé mercredi 24 septembre 2003 - 20h34: | |
Tristesse du coeur.. à vous de vous f... f... comme dans vous... foutre à l'eau foutre en l'air fâcher flamber la cervelle fendiller festoyer ficher fier figer fignoler filouter finaliser fissionner fissurer flageller flamber flatter flécher flétrir flinguer flouer flûter folâtrer formaliser fouailler fouir fourrager fourrer fracturer framboiser franchiser frapper freiner fricoter frictionner frigorifier frire friser froisser frôler frotter froufrouter frustrer fumiger fusionner fusiller fustiger
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reinedamnes
| Envoyé mercredi 24 septembre 2003 - 17h33: | |
j'ai lu tes texte ils sont très beau ils me font pensé a moi c'est bizare de voir que la vie et aussi dur que ça pour d'autre que moi. Le style littéraire n'est pas une fin en soi tu as ton propre style et c'est cela qui fait que tes poèmes me touche particulièrement moi j'adore et je te félicite |
   
Gunther, Clément
| Envoyé mercredi 10 septembre 2003 - 23h47: | |
Aux êtres qui nous sont chèrs Notre monde a des faiblesses, Que nul déesses , ne pourra surmonter Ses limites l’homme les a trouvé Tout ces vices , ces délices, Me font peur d’oublier ce qu’est la justice La vie s’estompe dans mes veines Pourquoi avoir a subir tant de peines Quand la vie vous laisse seul Seul , la tête vide le cœur se meurt. Tant de choses se sont passées , pour jamais les oublier, Quand la douleur reste graver , dans mon âme abandonné, Continuer a vivre , dans ce froid glaciale, Ou l ‘on se sent prisonnier , le visage bien pale. Ces êtres cher que le ciel a voulu récupérer , Ces êtres cher que la vie n ‘a pas voulu garder… Quand les mots se nouent , les poings serrés , Le corps reste bloqué devant ces épreuve a surmonter. Pourquoi tant de tragédies meurtrières, nos frère tombé sans raison Nous ne sommes que de simples moutons Tant de choses sont tombeaux pour nos cimetières Je n’ai plus le courage de me battre avec conviction. A chercher un loin bonheur , c l’esprit qui se perd Je sens monter en moi cette rage repoussée, Ces trop long moment passé a pleurer, La vie suit toujours son cours , mais mon intérieur se meurt . Je sombre dans un trou sans fin, Je cherche en vain une lumière ou bout du tunnel, Mais a quoi se rattacher quand les règles sont bafouées.. La douleur me fait peur , me couvre d’un linceul de malheur. Alors le silence m’envahie , expire mon dernier souffle de vie, Je rejoins le cercle de ceux que l ‘on oublie… Clémeny 18 ans (sescuse pour le style littéraire) |
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