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Bronzibus
| Envoyé jeudi 21 août 2003 - 2h34: | |
L’INTER MI –TEMPS - Festivals de l’été, ou êtes vous passés ? Et toutes ces scènes, lâchement abandonnées , Les larmes d’Avignon, la colère de Foulquier, La Rochelle est en deuil, la folie est passé… Et par intermittence, j’ai envie de gueuler, Au soleil de la France, une rage justifiée, Si Montpellier danse, d’autres, en rade sont restés, Marseille donne la cadence à ces fêtes ratées. Mais, quelle impertinence, Monsieur, que de vous mêler, De ce « qu’ils » imaginent être leur chasse gardée, Les chorégies d’Orange, chaudes nuits enchantées, Victimes des électros,ou otages des sondiers. Festivals de France, vous qui êtes morts-nés, De trop d’intransigeances, de métiers bafoués, Vous restera une chance, une prochaine année, Suffisent les indécences, issues des deux côtés. J’ai eu mal à la France, tel Malraux, l’oublié, Ministre de Mon Général, et de ces z'arts pompiers, Il était viscéral, ce coup de gueule annoncé, Tueur de festivals, gâchant un bien bel été… Et un sale teint banque, pour se faire maquiller, Faute d’avoir su bronzer, au soleil exposé, Y’a du pain sur les planches, qu’il faudra mériter, Saltimbanque, ta revanche… te reste à la gagner ! Bronzibus - -
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