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Gilles Babinet
| Envoyé vendredi 26 décembre 2003 - 0h17: | |
Le voici ---> Mais je préfère par email... Les chevaux se perdent dans les vents Tes cheveux se cherchent dans mes yeux Les heureux se perdent dans les champs et tes yeux s'ouvrent à mon coeur, Tandis que Jacques mon frère se meurt que les heureux s'élèvent dans les cieux oû croissent les indiciples et s'emflament les amoureux. Tandis que s'écaillent les boucliers que frissent les herbes noirs Miroitent les étangs morts Mon frère s'ouvre à la gloire et jusqu'à l'aube, son souffre m'appartiendra.
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Naroic (Naroic)
| Envoyé mercredi 18 juin 2003 - 0h33: | |
hello mr jonveaux écriture en recommandé, en chanson et jean's troué, puis une petite révolution,histoire de fignoler la rime et la scansion...une fable énervée, le stress en battledress,et cette fabulation SOS, un style et des pensées, belles promesses... Longue vie naroic naroic |
   
Patrick Jonveaux
| Envoyé dimanche 15 juin 2003 - 16h29: | |
Avez vous remarqué Avec quelle facilité Bon nombre de privilégiés Au nom de l’égalité Bafoue la liberté De leur fraternité Privant de travailler Ceux qui par nécessité Doivent sans félicité Se décider à abdiquer Dans un monde préfabriqué De monstruosités sans utilités Avez vous remarqué Combien de jours passés A vouloir décrier Le nouveau marché Finissent par tuer Les plus grandes volontés Du néophyte à l’initié Qui sans iniquité Sont souvent traqués Dans leur cœur blessé Dans leur corps stressé Avez vous remarqué Que sans rancune ni pitié Ils veulent continuer De croire sans impossibilité Au nom sacré de la liberté Qui doit se respecter Quelles que soient les vérités Car dans la dualité Il y a l’unicité Qui ne peut être oublié Au risque de l’ignorer L’avenir retournera au passé ã Copyright – Patrick Jonveaux-06/2003
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