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hurlante nova
Envoyé samedi 07 juin 2003 - 6h49:   

Écrit pendant un ouragan,
elle clamât avec plus de véhémence que le climat,
tous baissèrent leurs tête vers le sol, serrant leurs poings,
elle venait d'inventer une foule tenace de fondateur de beauté.

La glace opaque blanche de porcelaine brillante,
en cyclone d'automne coloré d'ultra son grondant,
sur les rouges éclaircies que de fin filet de brume mauve doraient,
dans l'éclair lumineux des aveuglantes étincelles.

Elle portait un pull de douce laine ou plongeaient mes yeux en quête de l'entre poitrine,
du pâle et doux bleu gris de ses yeux enragés d'étoiles pétillantes,
des lianes de cheveux plongeaient en de droite silhouette dansantes.

L'étonnante nuit me regardait aller a l'écart, sur une plaine de terre friable, creuser ma propre tombe,
aucun lutin ne m'avait suivit, les mouches elles même peuplaient le bois des saisons reproductives,
Peut être que cette longue femme qui m'aimait, le regard dans le vide en statue, préparait son amnésie.

J'irais aimer l'abîme des arbres croissant,
Quelque oiseaux, quelque lucioles, diront de moi que j'ai le sourire large,
je lisse mon corps du sable de mes mains allongés,
Je sent pourtant dans mon bas ventre jaillir mille planète furieuses.

hurle sur la table sanguinolente des festins un mammifère surexcité de gigotement
Suivez la route jusqu'au fleuve en flottant
c'est quand mon visage est celui d'un fou que j'aime être vue, j'ai du charbon expansif dans les entrailles.

J'arrache avant de mourir quelques ongles suivant l'angle droit des cotons de lévitation
surgissent un nuage de moucherons aigles
arrive boiteuse la sombre dame fantomatique aux longs cheveux gris,
danser pauvre monstre loin des yeux chargé d'un pleur involontaire, car là les victorieuses façonnent des mondes.

Une plume m'a dit un jours, car l'eau rend se qu'elle fait voyager : je me demande tout simplement
comment autant de vie a pu habiter cette cage osseuse...

Je suis un arbre massif vaste et stupéfiant,
qu'une verte planète éblouit jusqu'à coton d'éblouissement,
pendant ce temps de le vide des airs,
deux beaux oiseaux jouent joyeusement.

Citant ceci :
"Les hommes naissent libres et égaux en droit. Après, ils se démerdent".
"Le monde est peuplé d'imbéciles qui se battent contre des demeurés pour sauvegarder une société absurde".
Car depuis que je pète je pue du nez.
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