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hurlante nova
| Envoyé jeudi 05 juin 2003 - 7h17: | |
Prologue. Avec ou sans Anthana Brown j'avais envie de siroter du jus de luciole dans une bouteille verte brillante et quinze livre de clope blanche du filtre au mégot. Je m'appelle Edgar Stew ce qui est le faux nom le plus fantastique de l'ouest de la nouvelle Orléans, non ? Les quinze premiers jours de ma naissance un groupe de militaire en vacance avait installé des Jeeps autour de la fondation Albertuf pour la ré insertion des femmes handicapés cherchant du travail, ma mère du fuir la ville avant même que mon père, un des meilleurs Jazz Man, ne puisse lui jouer sous les étoiles du Tenesse : " I was in holliday, now I cannot play Jazz anymore ", de Eddy Stew, d'ou mon faux nom. A Seatle la soeur de ma mère, Hellen Sue Gardners nous installa dans la chambre du troisième étage et jeta a la poubelle le journal du jour : " Le commandant Ray Craven condamne des membres de son corps d'armée pour insulte à l'uniforme", depuis semble t'il on peut trouver dans les stations essence de True Ville, Tenesse, de sublimes broderies faites à la main par des travailleuses reconditionné d'une fondation racheté par l'état. Personnellement je ne suis pas détective mais pianiste. Je n'aime pas l'alcool, j'adore les femmes belles, je fume des Roses Senders et je suis maigre, ma première femme me dit a chaque fois que je lui téléphone : "je t'adore", je n'ai pas d'enfant et je n'en veux pas. Ma fiancé du moment est assez fantastique puissions nous nous marier, récemment un amis a moi c'est pendu dans un asile psychiatrique ou il avait été enfermé pour les motifs suivant : tentative de suicide. J'ai entre autre un jeune frère qui est dans une mini tombe pour enfant et mort née il a quand même trouvé le moyen de s'appeler Egon, ce qui est un nom absolument joli. Mon père est mort assassiné par Mérisse Clark, le meilleur saxophoniste des Wamps, toxicomane et coléreux. Ma mère est morte de vieillesse dans une longue maison calme et blanche qui s'allongeait sur les dunes de sable clair au bord de San Laurenzo au nouveau mexique. J'ai aussi une soeur jumelle qui vit en France et donne des cours de cyclisme à des grands mères farouchement coriaces. Voilà, c'est tout, ce qui va suivre j'espère vous plaira, vous qui avez décidé de sombrer dans les effluves naissantes des concentrations Alphanumérique, bonne année. Introduction Je m'appelle Sue, et je suis née au détour des sinueux déhanchements de biches voluptueuses du huitième siècle, courant comme des sauvages nues vêtues de lourd habit de coton solide et doux sous des chapeaux vastes en forme d'ombrelles ravies d'héberger sous leurs douches d'ombres de si divines colombes aux yeux mouillants. Pétillant dans les bulles claires des limonades en bouteilles de verre certaines vielles femmes après l'église des conventionnelles tentatives d'avortement de la sagesse du cogito, s'allongeaient nues riantes et offertes a de timides maris novices de perversion et de nudité. L'arrière grand mère de ma huitième mère qui aujourd'hui est posé comme un vase sacré et secret en nourrissant de farine cuite à l'odeur de biscuit chaud, avait, semble t'il prit le partie des courbatures du dos et des rhumatisme déchirant chaque tentative de mouvement de genoux. Puisant ses forces dans l'astral renaissance des candeurs de la jeune femme longue et grandissante à la peau pâle et aux yeux doux, elle mis au monde quatre garçons et tuant de ses propres mains expertes un vieux démon de roche, accompagnait ses nouveaux bébés anguilles de deux femmes plumes dont chacun des tours finissait en de somptueux ciels mauves, rouges, bleu foncés, s'attardant chaque huitième nuit dans l'éternité afin de suspendre au dessus de chaque volcan d'entre monde des débordements constructifs de planètes parallèles sans aimantations et tout aussi mauves que le vase de porcelaine coloré par des pigments pastels ou une graine d'or se cachait avant coulure, de la chambre du troisième étage. Je suis une femme riche, j'ai une vaste maison qui sert d'hospice a des femmes qui décident de sauver leurs enfants mâles de la concupiscence et suis experte en honnêteté éducatives ou, pour faire plus simple, en éducations honnêtes, ce, en opposition à ce que je nome la thérapie ogresse. Quand j'ai besoin d'argent, mais je vous sent déjà rebondissant de désirs d'intrigues, je vais voir une banquière de la North Fondation et je lui dit que Nikké la déesse triomphante demande a Ophèlie de sortir des eaux le temps d'une tempête sans vengeance, ce qui je dois vous le dire, prend quelques minutes, en une conversation lucide et donc, ennuyeuse de part sa précision. A dix huit an j'ai connue mon premier amant dont la description a été magnifiquement rédigé dans la série de la rue de la sardine, attention : " maigre et élégant le jeune homme avait dans les yeux la lueur sauvage et triste du génie". Cette relation de jeune couple élastique et farouchement sexuel fonctionna a merveille si bien que l'idée de mettre au monde un enfant me traversa l'esprit, j'allais donc, afin de connaître l'abîme obscure et inévitable, me faire baiser par deux cents hommes odieux en l'espace d'un mois, brisant ainsi ma vie et comprenant la phrase d'Antonin Artaud dédié à Genika : je suis définitivement a coté de la vie. Mon jeune amant depuis est un Académicien sage et cultivé qui enseigne les arts a des étudiants de familles riches et qui, je l'espère, est courtisé par de sublimes étudiantes prématurés et comblés des douceurs sauvages qu'un délicat lettré peut prodigué dans sa bibliothèque de bois lourd, vernis, chargé de livre et de tentatives de discrétion sociales accablantes. Décidant ainsi que la totalité du monde serait ma progéniture, je, contrairement à Anthonin Artaud, ne sombrais pas dans l'héroïne mais décidais d'installer ma demeure prêt d'une forêt ou, les gardes chasses sont de fidèles maris polis et, ce qui m'enchante, de fantastiques êtres psychorigides prêt a tuer tout hommes essayant de contourner la plus infime régle, ce qu'ils firent dalleur un jours, mais l'histoire n'a aucune importance. Comme cette femme décrite par John Irving je n'apprécie pas les libidineux concupiscents, je suis asexué, j'aide les autres femmes, mais j'ai cette spécificité, j'assassine des monstres. J'ai aujourd'hui cependant un nouvel allié, cet homme fameux et qui n'a pas de nom : l'homme qui cherche et trouve le cristal perpétuellement. I Première recette. Jeudi 18 juin, un homme frappe a ma porte et me dit ceci : " Le commencement est crucial, ainsi, si le commencement est décalé, rien ne peut fonctionner, le monde bascule avec logique et illogisme dans des staticités qu'un ancien moteur fané projette en de vaine tentative de transformation liquide, ici, ce qui nous préoccupe tout d'abords et la position du cristal lors de sa chute, navré de n'avoir encore la capacité d'appartenir au monde des vivants, car je suis impatient de décrire et de redécouvrir les danses des habitant d'hiroshima juste après la bombe nucléaire, je suis bel et bien prisonnier du monde des pseudo vivant, donc, dans la marre même des assassins et des moutons voraces de chair, donc, sans concentration aucune mais, avec le désir de faire de vous une admiratrice non initié je vous résume : je n'ai pas le point de départ, mais je serais un peut plus avancé quand je découvrirai le prochain cristal, je pense que donc vous pouvez me couper la parole. Très bien je vous coupe la parole vous disiez donc que votre méthode est en phase dévolution. Oui je disait cela et aussi que pour l'instant la solution alternative est de se mettre en symbiose mentale avec le cristal lors de sa chute ". Évidement je regardais l'homme des pieds a la tête, il portait des chaussures noirs de cuir et de Londres, un pantalon noir et long, une chemise blanche, un pull en laine douce, épaisse, chaude et dont le col était en V, une veste noir solide, des mains longues et fines sans bijoux, un visage vif de souris maigre porté par un cou de tortue, des lunettes lourdes devant des yeux amicaux, doux, plaintifs, rapides et fuyants avant de se planter dans l'amitié sincère d'un échange bref et éternelle, des cheveux noirs et brillant, un chapeau noir et joli qui avait la remarquable qualité de ce faire oublier par harmonie parfaite. " Et puis, une fois que l'on est calibré avec la chute de cristal ? " lui demandai je. Il me répondait ceci : "puisque je viens de frapper a votre porte, que la soirée débute et qu'il y a encore un peut de lumière, que je ne veut pas de suite entrer chez vous pour faire ce que j'ai a faire, que j'aimerais que l'on marche un peut, suivez moi, merci, avez vous besoin d'un chapeau, mon parapluie est à Berlin dans mon unique habitation secrète, votre jupe et sublime, tout autant que vos jambes, j'aime votre démarche, vous avez un jolie sourire, dois ton tourné a droite pour ne pas marcher sur l'herbe, c'est évidement une blague, ceci dit n'étant pas entré dans votre maison je ne suis pas tenue de sortir par la gauche, oui vous avez raison de fredonner, laissez moi deviner, I was in holliday, now I cannot play Jazz anymore de Eddy Stew , puis je vous faire confiance, heureux de vous connaître." Je ne répondait pas, j'avais de plus une jupe plus jolie a lui montrer, j'espèrais qu'il l'aimerai : " je vous avertit le canapé lit du rez de chaussé grince et le velours n'irrite pas la peau ce qui est étonnant et décevant", je le regardai marcher en regardant le ciel, puis très rapidement le sol avec curiosité, puis rapidement des oiseaux s'envolant à l'horizon, puis bondissant sur une pierre plate, puis attrapant rapidement une feuille, l'examinant, regardant l'index de ma main gauche, placant sa main droite sur son coeur pour se calibrer avec le rythme de son coeur, regardant a droite de ses yeux vifs sans bouger la tête, a gauche, a droite, réspirant comme un rongeur, bondissant a nouveau comme un castor, ramassant une pierre, la mettant dans sa poche tout heureux et tout ceci en l'espace de quelques secondes, oui, je me dois de le répéter, tout ceci en a peut prêt vingt secondes de promenade. "Nous allons marcher ma jolie dame jusqu'à ce panneau de signalisation routière ou je poserai la pierre que je viens de trouver, dans quelque minutes nous serons chez vous, car je vous raccompagne avant de m'éclipser, la nuit que voulez vous déchaîne l'enfer des hommes en devenir, sacre les bons et décuple le pouvoir des femmes, ainsi moi, la nuit, je monte aux arbres". "Évitez de monter aux arbres c'est interdit, et les gardes......" "Je sais, les gardes chasses sont d'implacables défenseurs de Gové 4, un arbre qu'ils ne connaissent même pas mais qui pourtant les à forcé un jours a tuer, mais cette histoire ne nous intéresse pas, pendant la marche voilà un poème pour accompagner le chant sublime de cet oiseau solitaire". Oiseau que j'entendais chaque soir a la même heure, d'un rire je l'invitai a me dire ce poème. " La lumière se décuple. La lumière se décuple. Une fine plante. Je contemple. Nous somme donc plusieurs Le cogito éclaire. Pas a table. Pas maudit. Je glisse sur les terres de l'horizon. Tout ce que nous ignorons. Je vois des fourmis taquiner de minuscules montagnes. Je ne sais pas qui ils sont. Comme le fantôme de moi même. J'irais libre. là. Hélène, Je décuple Hélène. Expansive Hélène. Voyez là. Progression, tenace, ici, un homme en devenir, dont les traces sur la plage rayonnent. La main caressant un arbre, sur ses feuilles. Dans le substrat même du cosmos, le temps comme unité statique. Être avec elle. Être avec elle et calme. Inséparable. Le monde est sublime dans sa totalité. Je m'aide, dans ce que le monde façonne, vous voyant heureuse. Mon fils sourit, faisant vivre l'univers tout entier, le divin bonheur. J'écris la victoire des poissons de la jeune planète, les algues sous marines d'aujourd'hui, pour ma soeur et mon frère de tout les ages, l'autre : l'extension sublime du moi. Les arbres. Elle vie entouré de machines manufacturé. Vive le silence, le chuchotement des grandes fêtes. Le couple façonne mille foules de contemplateurs........" Je continuai le poème sachant que nous n'aurions pas le temps de le finir : " Drogué du parfum animale de ma belle. Elle s'occupe des colonnes la maison d'air de notre nid. Je fait des biscuits d'effort sage. Et si le labyrinthe est éternelle, si je forge mes trompeuses illusions avec succès, suis je seulement vivant. Ai-je tout fait de travers ? Elle réclame a Athéna un peut d'eau. Pourvue que cela fonctionne, aime moi de tout ton être. A l'aide. Je perd mes forces. Une seconde annonce l'évènement, libre, commence l'incendie, les abîmes immergent. Je suis un vieillard oeuf, ne me tuez pas. Je vous regarde le souffle court, j'espère. Je ne t'abandonnerai pas me belle amoureuse, tous ceux qui disent t'aimer, sont des monstres. Je t'attendrais là. Nous regarderons le vaste univers. La terre dont deux lumières éclairent les hémisphères opposés. Je n'oublierai pas ta jeune soeur. Tu m'embrasse alors, tu me raconte le premier danseur sublime qui t'a bercé. Ce qui n'est pas nous deux, les dieux luciole comme des gouttes phosphorescentes dans la nuit. Les vieillards, les vieillardes, je suis en or. La nature, le filament de tabac, ronde de basculement. J'éviterai d'être laid. Des pantins dansant menottés aux poignées par de fins fils agaçant ont les bras levés que brûle l'effort. Je dirais de tout les êtres, tu est beau, tu est belle, ce sera ma beauté. Je ferais des blagues aussi. Mais toujours, sans méchanceté. Un homme sous la pluie fine aux bras nue en nage dans la boue sort de la terre friable et collante un bras humain détaché de son corps, a l'extrémité sanglante de chair cru. Ce réincarner oui, mais est ce toujours la même existence que l'on chausse. La fine plante de ma propre éternité . Je suis le créateur d'univers........................" Avant de finir le poème en effet, il posa la petite pierre sur le panneau de signalisation indiquant : stop, me souriant en levant son chapeau, alors très loin a l'horizon une voiture verte aux formes rondes arrivait vers nous, je courais vers la maison, il me suivait en me disant : " Tournez a gauche ! Ne marchez pas sur cette feuille d'arbre ! Trop tard ! Ce n'est pas grave. Vous ramasserai ce que votre chat fera tomber se soir ! Sautez ! Là ! Bravo ! " Nous arrivions devant la maison, le souffle vif. " c'était un papillon en devenir ? " lui demandai je. " l'arbre qui m'héberge ce soir sera faire un retour temporel suffisant pour réparer cette faute, a vrais dire, en ramassant le bout de papier que le chat va faire tomber ce soir vous réanimerais la fourmi que j'ai piétiné a Londres en venant vous voir, désolé de ne pas vous l'avoir dit avant, ah bon !!!!" Je tenais devant ses yeux un petit bout de papier blanc. " Et bien en ce cas heureux pour la fourmis, je crois que vous n'aurez besoin d'aide que dans quelques jours." Je lui souriais, distraite, regardant la voiture se rapprocher, toute brillante sur la route d'étincelle de pluie : " Je ne savais pas que les hommes savaient aussi faire cela ". Il se dirigeait vers la foret avec des bonds étranges et me disant a voix haute, déjà loin : "je ne savais pas que les femmes pouvaient marcher sur des papillons en devenir, j'ai fais une erreur en venant vous voir avant que les passagers de la voiture arrivent, j'aurais dut attendre qu'ils soit dans la maison avant de poser la pierre, j'ai juste voulus vous faire gagner du temps avec le vase sacré, je n'ai pas de nom, vous devrez me donner le cristal qui se cache chez vous". Je lui répondais : " Si vous m'aidez pour l'enfant, je voudrais qu'il devienne pianiste". Il avait disparut, la voiture s'arrêtait devant la maison, a l'intérieure de celle ci une femme me regardait et sur le siège arrière je voyais, surprise, deux jeunes bébés, jumeaux, un garçon et une fille, un peut plus loin de nous, un oiseau solitaire cessait son chant quotidien et re-surprise, commençait un chant nouveau. |
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