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hurlante nova
| Envoyé lundi 02 juin 2003 - 17h56: | |
D'autres aussi s'insurgeront sur les délabrement des parades des rosiers, sans fleurs aucune j'avance en tourbillons de déboires, j'avais voulus sauver des elfes des forets purs et une vétuste beauté, sans les scrupules de la neige glaciale s'avançant en de sombres miroirs, de cette beauté d'extase aux yeux grands ouvert posés sur les explosions cérébrales, des forets couvertes du feu calme de la rage s'entraident en ruine d'entretiens, jusqu'au grattage des jambes brûlantes et des courbatures de la main brisé, en de plaisante palissades molles ou les chaudes couvertures se posent sur les flaques, le filandreux velours noir et gris que des pastels animes en verts soleils aveuglants, sur la voûte même des saccages de raisons, de prières, de plaintives complaintes, de rires, maladif jusqu'au déboire suprême de la perte de son ultime timidité bleuissante, de ses pauvres yeux malades d'un désir d'abîme plus fort même que toutes romances, fade, usé comme ce linge blancs de cotons des injustices et aux macabres démantèlement, de l'exode du pinson sec et de la lumière mouillante, aux brûlures peut communes, comme ces rages de dents qui submergent vos premiers évanouissement, les départ de train vers des routes loin des voûtes du cristal temps d'une foret rieuse, en courage unique de quête de graines abjectes de vivacité d'engloutissement du faux luxe, longtemps avant les guerres, les morts, les assassinats, les attitudes de vipères gluantes, sombre dans ce gouffre de demi moine en cage pour cube d'étreintes froides et lumineuses, presque comme un débordement de rage d'être exclus de la vulgarité détestable et sans regret, en chasse d'eau de cascade d'amnésie des matrices volantes ou figés dans la glu des sursauts, avec toujours autant d'oiseaux, de laines chaudes, de main fragile et lisse, de roues fuyantes, au delta neuf des commencements d'une sirène stridente perdant le choix de l'être aimé, comme un unique cogito se décuplant sur les thèmes sans révoltes des criards de viande, maladif et pâle comme un râle de mammifère battu à mort, je regarde mon corps liquide aux poussières rares et solides, s'accoutumer aux pendaisons, aux tragiques disparitions de sages inconnues, dans les maisons blanches qui balayent le son, détonante biche te méfiant des craquement de bois mort de brindilles plantés dans la glaise, des lames raclant le sol en de si somptueux crissements d'espoir du non corps, du non temps, de la non chair, de la non âme, des non paralysies, loin de l'abîme, vers l'abîme, le gouffre des vivants, c'est la vie, quelques secondes la pierre s'envole, ne retombent pas d'oiseaux, quelques poissons en flaque de bémol sirotent les dernières sources diamantaires de l'algue, puis le vrac remarche, sans grâce, embêté dans des béquilles de robots à visage humain, les rares éclaircies sembles t'il s'agrippent aux vastes brouillards sombres et multicolores, la femme rousse apprête ses cheveux pour les fumeurs d'approches de flammes, une blonde lisse se détend le long des sables fins en or de vacarmes insongés, en une inaudible pleureuse brune qui avait oublié de remettre ma mémoire d'otaries, qui était plus belle que toute chose donc acceptant ses décisions, j'irais pisser, j'irais l'arguer mon urine acide, j'irais cracher des fioles de venin, j'irais chier, sur les tombes verticales des éducateurs d'oeil vidé des cyclopes plongeant dans l'envol, jusqu'à boire les stériles lunettes des rats longs voleurs de tâches, j'arrive, ne perd pas tes yeux jolies, la torche reste enflammé, je brûlerai et éclairerai ton monde, et l'univers nous fournira l'exode des côtes cassables des nez tordus, misérable journée que celle de ce moine piétiné par la foule victorieuse, des adorateurs d'exotismes banal, en apitoiement de mendicité d'unité des gouverneurs d'huître, car quand la biche détale je jette au danger des bombes avant de suivre la destiné solitaire, du poing aplatit en doigt de main en quête de brisure de carcasse de volaille d'ambre plastic, jusqu'à votre corps nue et debout et attendant et somptueux et long et rond et doux et lisse, et élastique et mouillant et parfumé et transpirant et aimanté et dansant et jouissant et rageur, et traite et divin et complexe et éphémère et désireux et fatigué et pensant et vibrant et drôle, et rebondissant et caressant et ouvert et calme et perdu et vif et vorace et hurlant et voûté, et sublime et sublime et beau et absolument sublime et plus sublime encore et doux tandis qu'hier, d'autres aussi s'insurgeront sur les délabrement des parades des rosiers, déjà je suis dans vous. Édité par hurlante nova sur le forum http://forum.aceboard.net/index.php?login=11509 |
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