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Anonymus
| Envoyé dimanche 08 juin 2003 - 12h38: | |
Réponse à Bronzibus Vouloir me cracher dessus et me casser la figure, c'est tout ce que tu as trouvé ? Y a pas à dire, c'est fin. Mais bon, c'est bien ce que je pensais : bien que tu aies évité le ridicule de me répondre en vers bancals, je note que tes écrits volent toujours aussi bas. Tu sais, moi aussi, "au nom d'une liberté d'expression que je revendique haut et fort, je dis et écris ce que je veux, y compris dans mes jugements portés à des"... poèmes, heureusement gratuits, postés sur ce site, "et ce, quel qu'en soit l'auteur." D'autant plus qu'en réponse à ton "cher Labavur'us" le 20 mai dernier, tu écrivais (après avoir craché sur BB ; décidément...) : "Haro sur le vrai-faux poète (en parlant de toi), OK ! Tant qu'on voudra !" Alors ! Faudrait savoir ! Enfin, un exemple de ton inconséquence : A la fin de ton message, tu utilises une énigme, comme pour éviter une grossièreté (sinon, quel en serait l'intérêt ?). Mais d'où vient donc cette subite pudibonderie, alors que tu n'hésites pas à écrire un peu plus haut, que je n'ai pas de couilles et que tu me cracherais volontiers à la gueule ? De plus, toi, dans le rôle de Marquise qui a 26 ans, tu m'emmerdes, moi, dans le rôle d'un Corneille très âgé. C'est le monde à l'envers puisque je suis obligatoirement beaucoup plus jeune que toi, qui a une fille directrice d'école. Dis-moi, après tout ça, ce que vient faire la chanson de Brassens là-dedans. J'en conclus donc que ta question ne servait à rien d'autre qu'à étaler ta "culture" et à montrer que tu sais écrire "Corneille" correctement.
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Bronzibus
| Envoyé dimanche 08 juin 2003 - 1h54: | |
Au courageux anonymus, Au nom d'une liberté d'expression que je revendique haut et fort,je dis et écris ce que je veux, y compris dans mes jugements portés à des "oeuvres" publiées à titre lucratif,et ce,quel qu'en soit l'auteur. Ceci posé,je ne savais pas que madame Bardot t'avait investi avocat chargé de sa défense, laquelle elle est bien assez grande pour savoir l'assumer toute seule, se passant de services qu'elle n'a jamais requis. Autrement dit de quoi je me mêle,triste et zélé défenseur d'une prose qui sent plus mauvais que toi. OUI, avec mes rimes à la con, je sais de quoi je parle pour avoir lu son bouquin.(Hélas.) Triste sire, abrité derriére ton anonymat, je te réitére ceci:tu n'as pas de couilles, et je te méprise profondément,en français dans le texte! Si je t'avais en face de moi, je te cracherai à la gueule, avant de te la casser,c'est tout ce que tu mérites. C'est clair? Mèle toi de ce qui te regarde... Dis, coco, comme on dit dans le métier,Brigitte, c'est une copine à toi? Je t'ai jamais croisé à la Madrague. Sais tu ce que marquise répondit à Corneille, le toisant du haut de ses vingt six printemps? Oui, non?? T'as toute la nuit pour y réfléchir...même davantage. A bon entendeur, salut. Bronzibus
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Anonymus
| Envoyé dimanche 08 juin 2003 - 0h25: | |
Réponse à Bronzibus pour "Ecrits et cris" As-tu lu un "Cri dans le silence" au moins? Sais-tu de quoi tu parles avec tes rimes à la con? Et, puisque c'est ta manie: Quel poème vas-tu pondre Pour me répondre? Je sais déjà Que ça volera A basse altitude Comme d'habitude...
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Frédéric Lair
| Envoyé dimanche 01 juin 2003 - 2h43: | |
Lorsque nous serons vieux Lorsque nous serons vieux, la bouche frémissante Et le regard inquiet tourné vers l’avenir ; Lorsque nous serons vieux, les jambes chancelantes, Il nous faudra, pour sûr, un jour nous souvenir. Je te rappellerai les aubes incertaines Et les épanchements de nos âmes meurtries ; Je te rappellerai nos millions de « je t’aime » Et la rose en ton cœur, qui ne s’est point flétrie. Alors, tu poseras ta paume dans mon cou, Nous suivrons à l’envers le sentier de nos rêves… Au fond, des souvenirs, nous en aurons beaucoup… Toute une vie d’amour, sans nuages, sans trêve ! Mais si nous étions vieux, et malheureux de l’être Avec des mauvais jours à compter, silencieux… Oui, si nous étions vieux, assis à la fenêtre, Me resterait l’espoir que je lis dans tes yeux ! www.ibelgique.com/frederic-lair
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Bronzibus
| Envoyé samedi 31 mai 2003 - 3h34: | |
ECRITS ET CRIS Un cri dans le silence,* Ta gueule, répond l'écho, Faut faire la différence, Entre l'âne et le bardot. Bardot, sept ans d'absence, Pour un livre d'indécences, Brigitte,vous, si jolie Silence, nous on vous crie! *Un brulot d'invectives signé Brigitte Bardot |
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