   
philippe.B
| Envoyé lundi 14 avril 2003 - 13h05: | |
Je replie le drap noir quand nos mains douceur nuit Frôlant impunément l'ivresse d'un regard, Aux couleurs du printemps,imposent sans hasard L'harmonie de nos sens: troublante symphonie. Je remonte nos vies quand tes baisers perlés Oh combien savourés,improvisent une pluie De notes christallines, variation infinie Et empruntent à nos corps, l'ébauche d'un regret Je pleure, mon amour, quand un dernier soupir S'élève cescendo de nos coeurs épuisés Composant un accord aux douleurs fruitées Mélodie du passé requiem à venir Philippe |