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     bronzibus |
REVEIL D'HOMME... Au dela de l'avis, au dela de l'accord, Renait le consensus,que l'on croyait mort, Tu en portais le deuil, et s'acharnait le sort, Revenu au pays,il s'abrite en ton coeur. Le chagrin t'avait pris,il en a des remords, La canaille s'oublie,et ne te fait plus peur, Disparu l'intrigant,sur le quai de ton port A largué le amares, pour ton plus grand bonheur. Le pantin solitaire ailleurs part vivre son ennui, Son chemin ,il recherche, qui conduit à l'oubli, Fange de la bohème,lui,un bien triste ramassi, Et un cerveau sans gènes, qui géne celui d'autrui. Engoncé dans la haine,il se réchauffe, à bon prix, Et sa fétide haleine empeste jusqu'ici, Tu lui avais dit:Larmes,alors,ç'a l'a rendu fou Mais évité le drame, et de l'arme, on s'en fout. Les enfants de la graine,bein...on les sème en nous,(aout) Au carrefour des poèmes, l'•••••, y'en a partout, Femmes, restez les mêmes,ils ont besoin de vous, Ces momes qui s'élévent envers et contre tout. A toi,la tendre mère,aux magiques discours, Pour tes enfants en fièvre,qui s'amusent dans la cour, Moi,j'aimerais te la faire,toute une nuit, tout un jour, Je veux percer les mystéres, d'une femme, tout court... Robert GOUBET Oui, j'ai encore osé, me croyant tout permis Restent cachés dans un coin une foule de non-dits A te servir,trés fins,nourriture pour l'esprit Comme Lea Ricaud ma muse,ce jour me l'a prescrit! Au royaume du tout et n'importe quoi, je me proclame impérator sans couronne (ni euro),et te salue, en homme élégant et courtois que je suis! Avec ma trés cordiale amitié, mon admiration renouvelée pour tes écrits, et ton indulgence pour ma sottise. RG |