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paloma
| Envoyé jeudi 15 janvier 2004 - 17h10: | |
CORRIDA L'ange percuta l'étrange violence de l'accident il tendit avec élégance ses ailes pourpres de torréro le démon enfourcha le taureau et les cornes dans son dos et dans ces yeux et l'écoulement du sang chaud blessure discrète l'ange s'aprètte il est bien tard et je suis prète je t'attendai un accident ota sa vue mais ses paupières se déchiraient un rideau qu'on ne lève plus se désagrège le tissu de ta peau tu ne m'as pas vu enfoncer le couteau même les anges y crèvent dans l'eau du styx et leurs corps voguent sur la grève le voile de leurs ailes s'arrachent et bientôt tu m'embrasses et m'entraine mon ange noyé dans l'eau du styx carnage du rouge de ton visage il y à ce blème quand tu disai je t'aime. Ses yeux saignaient ma langue dans ces plaies compresse du palai la morsure est mortelle des cornées du taureaux je buvais le poison de ses ailes comme un papillon qui butine son auto destruction mais vois comme il est tard l'outrage du temps et de la haine mais vois je t'attendais il est bien tard et je suis prète lèche mes phalanges étrange pour un ange que de mourir pour une terriènne même les anges y crèvent l'ange percutta l'étrange je l'attendais il léchait mes phalanges, ses yeux saignaient. tu as pleurer ton corps en sang m'y à coller d'hémoglobine j'étais le démon,le taureau et l'enfant dans un cerceuil d'aubépine l'ange percuta l'étrange outrage au temps il léchait mes phalanges est-ce lui ou moi qui se meurt s'il faut partir emporte moi de l'eau du styx je n'ai pas peur Carnage cabalistique du rouge des traces de ton visage il y à ce blème cette corrida satanique quand tu disais je t'aime |
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