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bronzibus
| Envoyé jeudi 06 mars 2003 - 6h22: | |
REPONSE A UN PROBLEME EXISTENTIALISTE L'attachement lachement nous a quitté Au bout d'une sente, à l'extrémité d'un pré, Y'a plus de possibilité de penser, Les cerveaux commencent à se faner. Y'a plus non plus de lune flamboyante Reste une terre sur une mauvaise pente, La pluie a cessé de s'alarmer Des pleurs qu'elle a su faire couler. Ton instabilité de toi se joue, Moi, je ne deviendrai jamais fou Si ce n'est d'un qu'on bafoue, Pire que tigresse je suis un jaloux. Parle nous de roses et de rosiers Dans un jardin d' par toi cultivés, Et qui auront su conserver leurs épines Comme au temps lointain d'un Lamartine. Sous ton corsage bat un coeur sage Epargne lui les remu-ménages, Femme moderne, femme à la page, Tu sauras éviter les carnages. Fiche un peu la paix à cette lune, De la poésie, toujours à la une, A en connaitre de gentils remerciments Tu verras s'adoucir ton temps! Robert GOUBET
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Francine G. (Tania)
| Envoyé dimanche 09 février 2003 - 0h32: | |
L'attachement, est-il en vous ? Nous avons récité tout ce qui fallait apprendre. Il fallait, car nous étions obligés Possédant depuis toujours un cœur saint, tendre. Mais avons-nous appris la vérité ! L’instabilité naturelle nous rend fou. Nous sommes des animaux trop prétentieux. Laissons au moins heureux, l’enfant qui joue Comme un lionceau, lui seul est encore amoureux ! Nous laissent-on la possibilité de penser ? Le profit engendre ce mal dont l’apogée explose Étant ces chevaux que nous même avons cinglés. Prose d’amertume, j’aimerais tant parler de rose ! Lorsque sous la lune flamboyante, Le monde d’évolution régressante, Souffrant de manque d’attachement, s’endort. La pluie ne peut que s’alarmer, D’une nature d’où nous avons diverger, Et me battrait avec la lune jusqu’à notre mort. |
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