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Mariechristine (Mariechristine)
Identificateur : Mariechristine
Inscrit: 12-2003
| Envoyé vendredi 06 février 2004 - 14h21: | |
Super ! J'ai trouvé. Dis donc, tu es un peu trop discret et modeste. Il faut vraiment le vouloir pour te tomber dessus et en plus on ne le regrette pas. Tu devrais te faire un peu plus connaître, non par orgueil mais par plaisir de donner du plaisir. J'invite tout le monde ici à faire un tour sur ton site. MC.E |
   
Virgule
| Envoyé jeudi 05 février 2004 - 17h23: | |
En fait on peut trouver mon site avec plusieurs adresses...T'as même 3 sites pour le même prix... C'est pas beau ça ? http://www.poete-sale-type.fr.fm/ http://www.parolier.ht.st/ http://plombier95.nerim.net/ |
   
Mariechristine (Mariechristine)
Identificateur : Mariechristine
Inscrit: 12-2003
| Envoyé jeudi 05 février 2004 - 11h46: | |
Bien sûr, c'est pas le même propos mais c'est la même tessiture, des vibrations analogues à celles de "Pour rien" : "Couleur bleue d’une nuit Jusqu'à tomber de haut de son alpe céleste Aux lunes électriques Et se réveiller mort de l'avoir tant rêvé". Tu n'as pas répondu à propos de ton (?) site (Forum de Jacques). C'est bien toi ? Le site a changé d'adresse ?
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Virgule
| Envoyé mercredi 04 février 2004 - 19h22: | |
A toi petite (chanson) "A l’enfance allaitée au sein de sa détresse... " "A cette âme que tu cherches et ne rencontre que dehors…" (JG) La différence A toi petite… Qui regarde le vent… Et la mer comme une halte Où se figent les bleus A toi petite… Au plus pur tourment Comme un ciel Comme une Alpe Au plus haut dans tes yeux A ces heures monotones Qui sans cesse t’enlacent A l’image d’absence… D'horizon sans couleurs Tant de temps tant de vide, au miroir à deux faces Des toujours chaque jour, sur fond blanc dans tes yeux A ce froid grandissant Balafrée dans sa glace Nuit transie d’innocence Aveuglant comme un feu Des délires et de drames Où les larmes se pensent Invisible au regard Quand l’emporte les peurs A toi petite… Qui regarde le vent… Et la mer comme une halte Où se figent les bleus A toi petite… Au plus pur tourment Comme un ciel Comme une Alpe Au plus haut dans tes yeux Au message qu'on sème Comme on plante un sourire Comme un cœur s’élance dans la foule qui dort Dans ces heures envolées à ce noir qu’on respire A la foule d'étoiles qui se hisse à ton corps Ton dessin comme l’ombre D’un oiseau comme un cil Comme une aile froissée Entachée de remord Jusqu’à toi qui me viens Dans mes mains Dans ton île Où s’invente le bleu Dans le pâle du décor A toi petite… Qui regarde le vent… Et la mer comme une halte Où se figent les bleus A toi petite… Au plus pur tourment Comme un ciel Comme une Alpe Au plus haut dans tes yeux
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