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Virgule
| Envoyé mercredi 04 février 2004 - 0h05: | |
J'ai dû cogner ma tête Dans un rêve de douceur Une fenêtre ouverte, aux premières lueurs Au matin comme une ombre Comme au ciel s'étirent Des images qui passent aux premiers souvenirs Que mes mains me retiennent Tant je ne sais compter Ces mémoires qui traînent Et qui se sont cachées Tout au fond de ma tête et pour lui faire subir Ces images qui passent au pâle devenir Parfois, on croit, on pense On aime, qu'à aimer Sur des musiques folles aux lèvres déposées Puis s'essouffle la danse, à ne jamais finir Tant d’images qui pass'nt sans jamais revenir Puis la brume se colle aux gorges des saisons S'engouffre comme une ombre Aux horloges du cœur Aux silences sans nombre, aux songes du partir Faits d’images qui passent au dernier souvenir |
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