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     Patufelle (Patufelle) Identificateur : Patufelle Inscrit: 2-2004 |
Je suis nouvelle sur le site. J'ai eu le plaisir de lire plusieurs de vos textes ce soir. ils m'ont beaucoup intéressée, je les ai trouvé bien écrits, parfaitement conformes à l'idée que je me fais de la poésie. J'ai aimé leurs sujets, leurs rythmes, leur construction. Bravo. Grâce à vous je quitte le site ce soir avant une bonne impression. Je suis en effet tombée lors de ma première recherche sur le long échange érudit, intello et polémique de Franz et Marie-Christine, dont le texte "Poésie concertante" n'est qu'un prétexte. Un échange si cérébral qu'il donnerait des complexes à ceux qui se soucient davantage de l'émotion que de la versification quelle soit classique ou moderne. J'écris depuis 25 ans et j'avoue que j'hésite un peu à les diffuser sur ce site. Bon, tout cela pour dire que j'aime ce que vous écrivez. A bientôt Muriel | ||
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Un Rêve envolé Au verso de l’âge Aux quelques images… d’un ange d’été A celle qu’on n’aime, Et pour qui l’on sème… des mots insensés Juste quelques gestes Qui se manifestent… en verbes d'été Je ressens souvent… comme un sentiment Quand passe mon rêve Son reflet touchant… qu’un mal me fend Des souvenirs d’Elle Cherchant sous ses robes Parfumées de l'aube… et pour m'enivrer D'une fleur sauvage Dans ses paysages… mouillés de baisers Un amour sans fin… fut venu soudain Comme une romance Donner à ma vie.… son souffle infini De l'adolescence Comme un oiseau blanc… qui soudain descend Etirer son aile Au coin de ma rue… d'une ombre perdue Quand l'heure se fait belle Nos corps enlacés… au vent régulier De son aube douce Et qui prit ma main… au petit matin Quand l'automne pousse Au doux sentiment… comme un frôlement Et puis qui se donne A mon coeur touché… à ses doux baisers Qu'au rêve s’abandonne Je revois souvent… un temps de ce temps Passant dans ce rêve Du compte de jours.. aux heures de l’amour Aux larmes des grèves Qu'un dieu me pardonne Si mon chant résonne… de ce temps passé D'amour sur la plage Le long du rivage… nos corps enlacés Et de courses folles Dans les vagues folles… si vite oubliées Et son doux visage Et pour tout bagage… un rêve envolé |