à deux ou trois minutes d’intervalle
trois montres ont sonné 22 h 00
je désembue un coin de ma vitre pour voir où on en est
incapable de ne pas écouter une conversation
derrière de moi
on déambule à travers le luisant de la ville
ici l’inconnu s’accumule et se tasse
comme une vraie farce

tout est tellement possible parfois


math.

By math on Unrecorded Date:

revu et corrigé (of course...):


à deux ou trois minutes d’intervalle
trois montres ont sonné 22 h 00
je désembue un coin de ma vitre pour voir où on en est
incapable de ne pas écouter une conversation
derrière moi
on déambule à travers le luisant de la ville
ici l’inconnu s’accumule et se tasse
comme une vraie farce

tout est tellement possible parfois

By Joë on Unrecorded Date:

J'aime bien et même très bien.

J'imagine la tête du gars derrière sa vitre, les lumières pas claires, et cette ville comme un personnage et puis cette immense incertitude de la fin.

On dirait une sorte de Noë qui scrute le temps de la montre, le temps qu'il fait et l'ambiance qu'il y a.

amicalement
joë

By Louve (Louve) on Unrecorded Date:

moi aussi j'aime...
l'image est extra!

train, métro, cage d'ascenseur, bus,

écran d'ordi?

=;-)

By math on Unrecorded Date:

merci, joë, merci, louve. japprécie beaucoup.
vous avez tous deux bien tourné autour de ce que je voulais communiquer par là...
math