Sur le versant
De mes folies,
La nuit descend,
Temps de l'oubli.

Sonne le glas
De mon amour,
Tu n'es plus là,
Noir est le jour.

Triste chaleur
En ma mémoire,
Rêve d'une heure,
Sourd désespoir.

Deci-delà
Souffle le vent,
Tu étais là,
Passe le temps.

Ta place est vide,
Larmes qui coulent,
Printemps aride,
Mon âme est saoûle.

Saoûle d'absence,
Qui pèse tant,
Quel est le sens
De ces moments ?

Où donc errer
Dans ces méandres ?
Pourquoi chercher ?
Plus rien n'est tendre.

Adieu mon âme,
Loin est ta vie.
Tais-toi, ma flamme,
Adieu, ma mie.

By Albert (Albert) on Unrecorded Date:

Bonjour Xavier, et merci de cet envoi.

Je me permets rarement une critique. Je l'ose ici, à vous de me dire ce qu'elle peut vous apporter.

J'aime bien le fond de ce texte, et quelques strophes comme celle-ci :

Sur le versant
De mes folies,
La nuit descend,
Temps de l'oubli.

J'ai le sentiment par contre, qu'en cherchant la forme, l'intensité parfois se perd, l'image se trouble un peu comme ici :

Sonne le glas
De mon amour,
Tu n'es plus là,
Noir est le jour

Parfaitement subjectif, ce modeste avis n'est que celui d'un amateur, peu éclairé ...

AU plaisir de vous lire
Amitiés
Albert