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Louve (Louve)
Identificateur : Louve
Inscrit: 8-2001
| Envoyé samedi 27 août 2005 - 3h54: | |
Et tout ce vide dans l’immense que le soleil frappe encore Un poing au cœur sans retour Une fausse rumeur garde regarde si loin Et au retour restera Une faim, une soif Et tout ce vent de biais Son froid qui se meurt dans mes cheveux Car de l’orage si bleu passera tes nuages Pauvre feuille que je suis Tu plieras l’écorce Que le noir ondule Au lac Sortiras alors toutes ses vagues Ou se termine nos rives Quand peut-être viendra notre aurore écrite |
Louve (Louve)
Identificateur : Louve
Inscrit: 8-2001
| Envoyé lundi 29 août 2005 - 3h33: | |
il est difficile, parfois dans le temps tout ses calculs de renonciations et la frustration qui arrive chaque jour comme une marée descend, monte monte, descend toute cette eau qui ne vient jamais! je m'évanoui, là... le coeur qui vague, qui cri, fatigué de s'étendre pour attendre le jour, la nuit et ses midis perdus et le sable dans mes mains il y a des vents sauveurs des arbres amis avec autant de feuilles que mes cheveux une terre sans mer qui ne remue pas sous mes pieds une terre ou tu n'y es pas |
Hélène (Ailen)
Identificateur : Ailen
Inscrit: 9-2001
| Envoyé samedi 17 septembre 2005 - 0h20: | |
le premier surtout Louve je retrouve ta transparence , ton odeur fraîche un peu nostalgique "Et tout ce vide dans l’immense Et tout ce vent de biais Son froid qui se meurt dans mes cheveux Quand peut-être viendra notre aurore " revient l'aurore chaque matin ouvre-t-on toujours la bonne fenêtre si quelqu'un ne nous guide pas un peu ? à te relire Hélène |