Auteur |
Message |
Nao (Nao)
Identificateur : Nao
Inscrit: 6-2004
| Envoyé vendredi 04 février 2005 - 16h36: | |
Teindre la lumière, La nuit, Peindre le mouvement de l’air Qui fuit Essayer d’écrire les vagues Des falaises Ou viennent, douce, luire Abysses et malaises Faire voler quelques plumes Les prier de chanter Eclairer à jamais Les grillons de juillet Porter dans ses rides Tous les enfants du monde car l’espoir est un rire, qui ne jamais retombe Allumer deux étoiles Un souffle de violon Qui joue du vent avec le temps Pour dessiner ce fil auquel l’heure se pend Sentir le départ D’un souffle de douceur Vert l’infini de vers Ou la mort meurt Eclater la beauté Contre un mur de violence Pour la voire exploser Que son sang se répande Noie le monde Le noire la mort la peur Ecoule l’amour qui fait mal Pacifie la douleur |
Nao (Nao)
Identificateur : Nao
Inscrit: 6-2004
| Envoyé mardi 17 janvier 2006 - 12h46: | |
Teindre la lumière, La nuit, Peindre le mouvement de l’air Qui fuit Essayer d’écrire les vagues Des falaises Ou viennent, douce, luire Abysses et malaises Faire voler quelques plumes Les prier de chanter Eclairer à jamais Les grillons/cigalles de juillet Porter dans ses rides Tous les enfants du monde car l’espoir est un rire, qui ne jamais retombe Allumer deux étoiles Un souffle de violon Qui joue du vent avec le temps Pour dessiner ce fil auquel l’heure se pend Sentir le départ D’un souffle de douceur Vert l’infini de vers Ou la mort meurt Eclairer la beauté De mot si doux Qu’on caresse du bout des lèvres du bout du cœur, qui craque qui fait se fendre la pierre Tomber des montagnes Qui vole dans cette pièce Et porte le masque Fabuleux de l’instant |
|