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Sam (Asics)
Identificateur : Asics

Inscrit: 6-2004
Envoyé jeudi 20 janvier 2005 - 12h25:   

Je te sèmerais aux quatre vents de mes nuits
Et te draperais du dernier rideau de pluie,
Pour qu’en moi, chaque matin, tu refleurisses
Sertie de lumière que la rosée glisse.

Je me ferais Eole à souffler mes moutons
Vers tes nuits agitées que tes yeux rêveront.
Je te ferais danser parmi les étoiles
Que même Cassiopée en perde son voile.

Je t’hypnotiserais sous un bleu lumineux
Pour laisser mes lèvres déshabiller tes yeux.
J’effleurerais perles au parfum opiacé
Que tes narines se laisseront envoûter.

J’arracherais vêtements de ton corps ténu
Pour taillader ‘espoir’ au creux de ton dos nu.
Je frôlerais ton corps d’ombres, de caresses,
Que ta peau nacrée en frémisse sans cesse.

J’incendierais de baisers tes lèvres désirs
Que nous envahiront mille et un plaisirs.
J’irais escalader la cime de tes seins,
Dressés entre passion et élixir divin.

J’inonderais le feu ardent de mon âme
Que tu te nourrisses de vingt et un grammes.
Je te rêverais même bien après ta mort
Sous les volutes de Titan, triangle d’or.

Je t’emmènerais chaque fois plus loin, là-bas,
Où, sans doute aucun, tu vis déjà en moi,
J’écrirais quelques vers sur mon ‘Moleskine’,
Juste pour toi. Et qu’enfin tu me devines !

Et si tout t’était permis ?
Sam (Asics)
Identificateur : Asics

Inscrit: 6-2004
Envoyé jeudi 03 février 2005 - 18h14:   

Je te sèmerais aux quatre vents de mes nuits
Et te draperais du dernier rideau de pluie,
Pour qu’en moi, chaque matin, tu refleurisses
Sertie de lumière que la rosée glisse.

Je me ferais Eole à souffler mes moutons
Vers tes nuits agitées que tes yeux rêveront.
Je te ferais danser parmi les étoiles
Que même Cassiopée en perde son voile.

Je t’hypnotiserais sous un bleu lumineux
Pour laisser mes lèvres déshabiller tes yeux.
J’effleurerais perles au parfum opiacé
Que tes narines se laisseront envoûter.

J’arracherais vêtements de ton corps ténu
Pour taillader ‘espoir’ au creux de ton dos nu.
Je frôlerais ton corps d’ombres, de caresses,
Que ta peau nacrée en frémisse sans cesse.

J’incendierais de baisers tes lèvres désirs
Que nous envahiront mille et un plaisirs.
J’irais escalader la cime de tes seins,
Dressés entre passion et élixir divin.

Je te rêverais même après l'aurore
Sur les volutes enlacées de nos deux corps.
Je me ferais Gauguin satiné Matisse
A recouvrir d'or ton âme en fleur de lys.

Je t’emmènerais chaque fois plus loin, là-bas,
Où, sans doute aucun, tu vis déjà en moi,
J’écrirais quelques vers sur mon ‘Moleskine’,
Juste pour toi. Et qu’enfin tu me devines !

Et si tout t’était permis ?

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