| Auteur |
Message |
personne/soraya l'unique (Intervenant non inscrit)
| | Envoyé samedi 27 novembre 2004 - 8h12: | |
ils sont dans les archives de je sais plus quand à septembre postés sous personne, pour ceux que ça intéresse et nao pour quelqu'un qui me fait chier depuis quelques jours tu avais bcp aimé elle voilà. toute cette histoire est dingue et plutot grave quand on y pense. |
JG (Intervenant non inscrit)
| | Envoyé samedi 27 novembre 2004 - 12h12: | |
Le problème est que tous tes sujets où idées d'écriture sont bonnes, mais il manque la façon, le style et la manière de les exprimer plus adroitement... Là tu écris d'une manière gravement populiste, sans la recherche du moindre style, alors que tu pourrais le faire autrement j'en suis sûr...
Croirais-tu seulement l’étrangeté du mal…
Celui qui vit de l’autre, celui qui vit que pour ton bien
Croirais-tu la faiblesse, celle qu’on t’offre nuit et jour, en million de couleurs
Celles des arbres morts, que tu regardes près du feu, dans l’âtre de la télévision
Croirais-tu seulement, qu’il faut que je te dise…Que tes larmes sont belles !
Et ces amis que tu reçois, pour réchauffer tous les silences
Leurs traîtres mots qui se confondent à ceux qui te font rire, quand tu te sers à boire
Cette amitié qui te rassure au-delà de ses phrases…
Celle d’avoir comme elle, suffisamment pleuré
Le croirais-tu, alors, l’étrangeté du tout, celle fondue en toi
Cette belle arme douce, qui pourtant te fait vivre…
Et celles des grimaces…! Le croirais-tu encore ?
A toi, qui ne vois pas… A toi, qui ne sais pas !
A toi, qui ne crois pas, à ces chambres glacées, à d’impossibles rêves
Toi, qui pour avancer, s’inventes la rumeur…
Du temps qui recommence !
Toi, de tous les néants, toi de tous les venins…
Avec tous les déserts, les chemins rocailleux
Les portes sans issues, avortées de questions
Toi de tous ces moments, sans lire au fond des yeux, leurs blessures en plein cœur…
Toi d’un autre langage et de suaves pitances
Qu’un monde ne sait pas…
Qu’un monde n’entend pas…
Un monde comme des peurs…
Et si je te disais, que le mot liberté, fracasse tous les murs...
Le croirais-tu vraiment ?
Et si les murs ne l’entendaient pas ?
Et si les murs ne s’entendaient pas ?
Le croirais-tu vraiment, que le mot liberté, efface chaque mur et qu’un autre l’entende ?
Croirais-tu seulement, qu’il faut que je te dise… Que tes larmes sont belles !
Faut-il que je te dise, l’étrangeté de moi...
Et que plus rien ne me fait mal…
J’ai remplis tous les verres… « Aux Armes mes amis !!! »
Faut-il que je te dise
La peur de te faire mal
Mais toi ! Me croirais-tu ?
Faut-il te l’entendre dire…
Que mes larmes étaient belles ! |
soraya (Intervenant non inscrit)
| | Envoyé samedi 27 novembre 2004 - 22h30: | |
te sers pas de ce message pour foutre ton texte je vois pas l'utilité va à sujet et reposte le il est ptètre sympa mias trop deg j'ai pas envie de le lire |
ams (Intervenant non inscrit)
| | Envoyé lundi 29 novembre 2004 - 16h28: | |
magnifique portée des mots..c'est l'envol , l'évasion vers le concret , c'est la vérité, c'est la nature humaine dénudée dans sa robe de satin transparente, c'est l'ivresse insensée des normes démesurées..merci je te lirai encore avec plaisir |
hey bip peaches (Intervenant non inscrit)
| | Envoyé lundi 29 novembre 2004 - 23h25: | |
non mais si vous voulez poster entre vous aller ailleurs, ce topic n'est pas un speed dating improvisé. je ne veux ps être celle qui fait nire les passions ici. mais ams tu parles à qui d'abord? |
hey bip peaches (Intervenant non inscrit)
| | Envoyé lundi 29 novembre 2004 - 23h27: | |
ce clavier m'ennerve, naitre les passions... |
|