Katia (Intervenant non inscrit)
| Envoyé jeudi 25 novembre 2004 - 21h26: | |
Je porte l’hampe dans l’axe de ton corps, Je vois luire ta peau et entreprends ce refrain de sensualité Dans l’ombre du soleil qui disparaît et me cache de toi Des déserts nous séparent de contemplations infinies J’oscille de plaisir inavouable à plat ventre, J’étouffe sans ta bouche qui me touche, J’entreprends cette course infernale de te retrouver, Canapé bienséant, lascivement froissé, Bienheureuse de bifurquer sur l’envie partagée de se frôler Théâtre de liesse et lisière d’attachement Présence amniotique et douceur de l’alliage Ebéniste de mon corps qui se pli d’atticisme Prisme d’allégations alléchantes sur le lit de ton nom Je dévore les instants chromatiques et les couple |