Katia (Intervenant non inscrit)
| Envoyé jeudi 25 novembre 2004 - 21h21: | |
Imbibe ton parfum dans mes pensées, enivre moi de ton corps serré, tout contre à l’encontre subtile, d’un amour qui me fait chavirer Giflée par le chagrin, ivre en refrain leitmotive de souffles entrecoupés glace dessine entre mes yeux l’odeur de tes cheveux bouclés, cadenacés entre mes mains, folle fureur ensevelie d’un délicat parfum fluide altesse de mes rêves et de ce refrain de rien, de ce que j’ai connu et de ce que je ne connaîtrai plus torche donnée à la nuit quand j’amorce le bonheur et le repli d’ivresse J’aime et j’aimerai ce monsieur bouclé essoufflée par la délicatesse tel un fruit doucement cueilli amplement juteux mon amour se dessine en secret place de l’hôtel dieu immolée de sensation tel un genièvre coupé par le vent subtile docilité comme l’eau et le temps, albumine qui s’englue et se décline affreusement fragile, sentiments fertiles comme une foule qui défile mon corps et mon âme fenestrés comme un jour ouvré, endroits fétiches et folle sensation qui décolle couleur donnée à la nuit quand j’amorce le bonheur et le repli le corps ambitieux envie généreusement l’alibi |