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Aurore (Aurore)
Identificateur : Aurore
Inscrit: 9-2004
| Envoyé samedi 11 septembre 2004 - 18h40: | |
Les heures liquides stagnent devant la porte j'ai barricadé les fenêtres et le crépis j'ai jeté l'essence et attendu l'incendie notre autodafé fait fuire les croquemorts. Mon amour croquignolé croque le réglisse mon dos s'accroche à deux ailes véloces et claires les lampes survoltées carressent la lumière la bicyclette lâche les poignets et glisse. Ta main alcôve plaquée sur mon ventre nu chante l'apaisement du dernier soubresaut et ton souffle source boit toutes mes venues ainsi les probes ardeurs déchirent les mots. J'ai jeté l'ancre de ma garde pour ton sein je vois alors des images d'or et de feu des tubes glissant des couleurs dans tes yeux je respire amour et il ne me manque rien. |
tk,t3, euh non:tm (Intervenant non inscrit)
| Envoyé jeudi 25 novembre 2004 - 14h50: | |
Je suis venu par hasard sur ce fil, parce que c'est le dernier et que ton texte est tout seul, comme une âme en peine. Point du tout: la tienne était en fête, ce jour-là! J'aime beaucoup ce chaud brûlot d'amour! |
aurore (Intervenant non inscrit)
| Envoyé vendredi 26 novembre 2004 - 20h45: | |
le hasard, ça n'existe pas mon ami. Enfin, je ne pense pas. Merci pour ce petit message trés sympathique aurore |
hbp (Intervenant non inscrit)
| Envoyé mardi 30 novembre 2004 - 2h48: | |
si, le hasard existe, c'est le nom que prend dieu pour passer incognito... |