Maraja
| Envoyé vendredi 16 juillet 2004 - 18h57: | |
Des courrants d'airs se balladent Et pour les empecher, ces yeux Et le chemin qu'efface peu à peu Ce bruit derriere toi, qui te regarde Pourtant les souliers avancent seul Et ta main creuse une poche ou vieilliront sans doutes, à gauche de timides envies, en regrets eternels Un bout d'papier tient la voile,dans le col d'un ruisseau Et s'il pleuvra toujours, lui coule en attendant Et la vie ça crêve comme les mots En des insultes qui dévalent les poussieres du temps quand les voyages s'epuisent dans des trains soutérain quand m'achemine à la chaine mes poëmes en cerceuil Sur mes yeux envitrés reflette le tien lettres aprés lettres je m'retrouve seul A.Maraja |