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Lily n'aime pas la poésie.
| Envoyé jeudi 15 juillet 2004 - 12h57: | |
Il l'a baisée puis l'a laissée là comme une pute que le minable banlieusard vole le jupon au nombril, le foutre dégouline et elle y applique ses doigts siccatifs un bleu au genou, elle se casse, la bonne rangera les fracas capiteux Stabat mater la sybarite, elle gifle la rue et ses puceaux déboulonnés elle a le spleen ce soir et tape, le sucre s'explose Il l'a baisé puis la laissé là comme une pute que le minable banlieusard vole le jupon au nombril, le foutre dégouline et elle y applique ses doigts siccatifs un bleu au genou, elle se casse, la bonne rangera les fracas capiteux Stabat mater la sybarite, elle gifle la rue et ses puceaux déboulonnés elle a le spleen ce soir et tape, le sucre s'explose en supernova sur ses parois cadence, elle croise l'Enfant Malade, que fout cette esseulée encore là à maculer le pavé monochromme ses yeux l'ont desexcité et au sortir d'un bouge, un pédé taille une pipe à cinquante euros elle s'arrete, tire sur sa Dunhil, se caféine et s'étale en corolle sur un banc deguelasse cette nuit la débilite |
Lily n'aime pas la poésie.
| Envoyé jeudi 15 juillet 2004 - 14h12: | |
Oh quelle histoire, mon texte est tout deformé c'est vraiment ennuyeux ca quand meme. Voilà: Il l'a baisée puis l'a laissée là comme une pute que le minable banlieusard vole le jupon au nombril, le foutre dégouline et elle y applique ses doigts siccatifs un bleu au genou, elle se casse, la bonne rangera les fracas capiteux Stabat mater la sybarite, elle gifle la rue et ses puceaux déboulonnés elle a le spleen ce soir et tape, le sucre s'explose en supernova sur ses parois cadence, elle croise l'Enfant Malade, que fout cette esseulée encore là à maculer le pavé monochromme ses yeux l'ont desexcité et au sortir d'un bouge, un pédé taille une pipe à cinquante euros elle s'arrete, tire sur sa Dunhil, se caféine et s'étale en corolle sur un banc deguelasse cette nuit la débilite Désolée, c'est l'émotion, je suis toute febrile de poster... oh lala |
devine qui je suis!
| Envoyé jeudi 15 juillet 2004 - 22h29: | |
on s'en fout de la forme tant que le texte est vivant,non? |
philippe nollet
| Envoyé vendredi 16 juillet 2004 - 6h46: | |
Superbe texte en effet (et qui ne pose pas justement la question du fond et de la forme, mais j'ai parfois tendance à un peu trop "intellectualiser"). |
Anonyme
| Envoyé vendredi 16 juillet 2004 - 13h24: | |
Non, on s'en fout pas de la forme ! |
personne
| Envoyé vendredi 16 juillet 2004 - 22h55: | |
si on s'en fout, je sais pas ce que t'as l'habitude de lire et d'écrire mais ça doit pas être super si t'as besoin de la forme pour ressentir un texte. encore un(e) conformiste sans goût |
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