JG
| Envoyé mercredi 30 juin 2004 - 7h05: | |
Si tu savais seulement, sur une vague froide, dans le vague de l'air, comme un désert avance. Si tu me savais là, où je me suis assis… Nocturne… Comme un Astre… Les pieds dans ses rayons, dans mes vagues de nuit. C'est fou ce qu'on invente, rêvant les yeux ouverts, en supposant le vent, les cheveux dans les yeux, prêt à mettre les voiles. À chaque fois un rêve, vient prendre la relève, d'ancien rêve infini … Chaqu’ fois il recommence, grand comme un univers, aux Venus éternelles, du meilleur et du pire… Si seul'ment tu savais, combien je te sais là ! Seulement de l'Aurore. Tu saurais seulement, et bien plus près de moi , bien plus loin que mes rêves, combien te sens là… En moi… Au plus profond… Et combien de nos nuits et combien de nos jours, ne doivent plus finir… |