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Abîmes poétiques : le forum » Vos textes (publication libre) » Archives : avril - septembre 2004 » Votre avis svp « précédent Suivant »

Auteur Message
Didou
Envoyé lundi 28 juin 2004 - 10h58:   

J'aimerai juste savoir ce que vous en pensez... faut que je continue ou que j'aille me recoucher?

Que l’amour est cruel en ce monde tout autant
Et qu’Hadès me prenne, Aphrodite m’ignorant
En effet que de peines toutes ces années durant
Où je n’ai eu que pleures et râteaux incessants ;

C’est pourquoi aujourd’hui dans ce couloir assis
De ma plume saisie, je vous écris ceci
Et qu’un jour Cupidon dans les Cieux établi
Se rende compte ainsi de mon cœur appauvri ;

Et perdu dans mes rêves, noyé dans mon chagrin
Implorant presque Hadès de me donner la main
Je continue demain de marcher sans destin
Avançant sans espoir en dehors des chemins ;

C’est sur ces derniers vers que s’achève ce poème
Et puissent mes journées ne plus être les mêmes
Après tant de recherches trouverais-je enfin Reine
Qui veuille bien de moi pour partager mes peines ;

Que l’amour est cruel en ce monde tout autant
Et qu’Hadès me prenne, Aphrodite m’ignorant.
JG
Envoyé lundi 28 juin 2004 - 18h28:   

Tu es là sans façon, dit, poète et sans gloire
Dissipé dans les mots les maux dits autrement
Aux mémoires qu’on prête dans ses encres à boire
Faits d’éclats de silence, au cristal résonnant

Tu te cherches d’urgence un raisin capiteux
Tu fabules et t’égares, en un ciel amoureux
Maquillé de lumières écrivant sous le fard
Les accents d’une lettre où la rime t’égare
JG
Envoyé lundi 28 juin 2004 - 18h35:   

On la refait, y'a deux fois le mot "égare"...

Tu es là sans façon, dit, poète et sans gloire
Dissipé dans les mots les maux dits autrement
Aux mémoires qu’on prête dans les encres à boire
Faits d’éclats de silence, au cristal résonnant

Tu te cherches d’urgence un raisin capiteux
Tu fabules des suites, en un ciel amoureux
Maquillé de lumières écrivant sous le fard
Les accents d’une lettre où la rime s’égare
JG
Envoyé lundi 28 juin 2004 - 18h59:   

Je la pousse encore un peu...

Tu es là sans façon, dit, poète et sans gloire
Dissipé dans les mots les maux dits autrement
Aux mémoires qu’on prête et des encres à boire
Faits d’éclats de silence, au cristal résonnant

Tu te cherches d’urgence un raisin capiteux
Tu fabules des suites, en un ciel amoureux
Maquillé de lumières écrivant sous le fard
Les accents d’une lettre où la rime s’égare

A humer le printemps ses parfums de rescousses
Te reviennent en couleur une idylle sans nom
Un passé composé de douceur et de mousse
Les pensées consumées dans ses vertes chansons
JG
Envoyé lundi 28 juin 2004 - 19h20:   

Encore un p(tit bout... :-)

Tu es là sans façon, dit, poète et sans gloire
Dissipé dans les mots les maux dits autrement
Aux mémoires qu’on prête et des encres à boire
Faits d’éclats de silence, au cristal résonnant

Tu te cherches d’urgence un raisin capiteux
Tu fabules des suites, en un ciel amoureux
Maquillé de lumières écrivant sous le fard
Les accents d’une lettre où la rime s’égare

A humer le printemps ses parfums de rescousses
Te reviennent en couleur une idylle sans nom
Un passé composé de douceur et de mousse
Les pensées consumées dans les vertes chansons

A t’écrire comme on pleure et que l’ode raconte
Couturé dans le triste où le temps semble long
Tant de ponts tant de vide où la larme t’inonde
Tant de voies tant de routes où les heures s’en vont
JG
Envoyé lundi 28 juin 2004 - 21h22:   

Bon j’ai tout revu… En plus clair avec inversion et à la suite de « rime s’égare » quatre vers sans rime

Sans façon

Tu es là sans façon, dit, poète et sans gloire
Dissipé dans les mots les maux dits autrement
Aux mémoires qu’on prête et d’une encre si noire
En éclats de silence un cristal résonnant

A humer le printemps les parfums de rescousses
Te reviennent les mauves une idylle sans nom
Un passé composé de douceur et de mousse
Les pensées consumées dans tes vertes chansons

Tu te cherches d’urgence un raisin capiteux
Tu fabules des suites en un ciel amoureux
Maquillé de lumières écrivant sous le fard
Les accents d’une lettre où ta rime s’égare

A t’écrire comme on pleure et qu’une ode raconte
Couturé dans le triste et la lame du temps
Tant de ponts tant de vide où la plume va boire
Tant de voies tant de routes où des âmes s’en vont
personne
Envoyé jeudi 22 juillet 2004 - 21h51:   

jg qu'est ce que tu nous fait, bref, j'aime beaucoup, c'est frais et agréable, autant l'un que l'autre continue chou!

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