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JG
| Envoyé mercredi 23 juin 2004 - 0h02: | |
Aveugle à petit feu, à marcher dans les lignes, couturé sans un titre, à l’encre, à cœur battant… A mordre dans sa tête, les mots à pleines dents, le passé au présent… Comme pour se résoudre, d’un impossible rêve, le temps d’infiniment… Dans le vers déployé, des " non dit " aux " non lire ", condamné dans le triste, au diable son talant… A supposer l’étrange, quand son verbe vous pousse, quand chaque mot bouscule, ridicule où baroque, un monde à bout de sang… Au verso d’une rime, aux mensonges, aux respires, tous les dieux nés sous X, un monde irrespirable… Sapé dans ses chansons, au rougi d’une gorge, à phrases dénudées... Poétiqu'ment parlant… D’éternels artifices, bâtis à mot couvert, à l’heures des néons, issues des idées noires… Les nuits des sans issues, aux nuits qui s’enveniment, dans sa déséccriture, méandre dans sa larme Aux jours, de jour en jour, d’écrits comme on s’en va , d’écrits comme on se quitte, des cris quand tout fout l’camp… Dans ses miséricordes, défunt d’une esthétique, coupable sans une arme… Avec les roses noires, d’amour à condition…
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Iris
| Envoyé mercredi 23 juin 2004 - 21h18: | |
Jasmin de damas tendre sabre-liseron un pistil chante la forge la force, elle, s'est fanée demain boucle hier du lierre si je l'ignore tu le sais |
Anonyme
| Envoyé mardi 27 juillet 2004 - 20h40: | |
Arrête de crotter partout où tu vas isri |
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