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Jérôme
| Envoyé vendredi 04 juin 2004 - 8h18: | |
Folie chuchotée et perdue dans la vanité des sens, Connaît le secret de la mouvante réalité. Touché ? Ta main. Dans ta chambre, Personne n'a inventé l'existence. Cent voix stridentes, Vivre au bord de la plage. Une apparition du diable Sur le chenal. Le jour où j'ai quitté la plage, Son propre visage Imprimé Sur le miroir de la fenêtre, Et notre passé Pour se réchauffer Dans la nuit Inanimée. Mais pour quitter le soleil, Les yeux de la nuit Sont impudiques, obstinés et passifs. Mais il se fait tard. Il serait temps d'unir nos voix Autour d'un feu. Les bûches finissent de se consummer. Tu divagues mon gars, Tu en fais trop. |
Ulyssia
| Envoyé vendredi 04 juin 2004 - 13h54: | |
de beaux passages. je n'ose plus commenter davantage.
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Jérôme
| Envoyé vendredi 04 juin 2004 - 15h00: | |
Je te remercie pour ce demi-compliment, et je n'attend qu'une chose, c'est que tu oses davantage... il ne faut jamais refuser une invitation... |
Ulyssia
| Envoyé vendredi 04 juin 2004 - 21h59: | |
je saurai que toi tu aimes alors . il y a des auteurs je crois qui n'aiment pas trop les commentaires alors :je me lance dommage la majuscule régulièrement à chaque alinéa ça coupe la phrase n'importe ou et gène à la compréhension mais c'est Word qui nous fait ça . à moi aussi . ton texte est un peu mélange de rêve et de réalité un souvenir je crois "Mais pour quitter le soleil, Les yeux de la nuit Sont impudiques, obstinés et passifs. " c'est très beau ce passage . une fois "mais "suffirait tu pourrais l'enlever au début de la strophe suivante si tu parlais à quelqu'un pourquoi dire " tu en fais trop " ? je crois que dans certaines circonstances on n'en fait jamais trop surtout si on dit de belles choses. voilà.
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jérôme
| Envoyé samedi 05 juin 2004 - 8h47: | |
Juste un merci. |
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