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Libre (Libre)
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| | Envoyé samedi 17 avril 2010 - 2h49: | |
Mettre bas comme on enfante,
Ligne gigogne sur un horizon de mots qui regardent,
Rien n’appartient plus,
Rien ne possède.
Presque une définition encyclopédique,
Presque un faire-valoir de vérité.
Mettre bas comme on enfante,
Une ligne de plus.
Sache que rien ne superpose,
Rien ne sépare plus,
Qu’un mot comme un miroir,
Qu’un mot comme un miroir.
A bon entendeur. |
Libre (Libre)
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| | Envoyé lundi 19 avril 2010 - 22h09: | |
Tom ! Salut ! |
Libre (Libre)
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| | Envoyé dimanche 25 avril 2010 - 5h59: | |
Merci pour le commentaire qui m'a fait beaucoup rire! Le problème, c'est que je suis encore saoul (é), et que j'ai envie d'écrire. Tom (?), voici ma réponse à ton "Salut !" :
Secondes entre 5h43 et 5h44 : le monde semble compris et facile. Les clés semblent acquises pour la prochaine déroute, et le triomphe ne s’annonce que plus glorieux.
Définitivement, je n’apporte rien aux étoiles. Définitivement, je n’avais pas conscience d’être enfant de Dédale. Un lourd poids pesait sur mes épaules, un poids rond comme le monde, une chape d’inconnu pourtant comprise pesait sur mon égo, et dans la transversale pesait le poids des mondes, pesait le poids des routes. Les grandes routes.
... A bon entendeur.... |
Libre (Libre)
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| | Envoyé samedi 01 mai 2010 - 12h23: | |
juste un clin d'oeil un peu maladroit de ma part: j'ai lu le mot dans un miroir : Tom. |
Libre (Libre)
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| | Envoyé dimanche 09 mai 2010 - 5h44: | |
Non, pas maladroit du tout. Je n'avais pas compris. J'ai écrit le "poème" et la réponse dans un "état second", et ton commentaire était très bien vu...
La plupart du temps, j'écris "online", sans vraiment réfléchir... C'est pour ça !
... A bon entendeur... (!) |