PRINCESSE DE MES NUITS Log Out | Thèmes | Recherche
Modérateurs | Fiche Personnelle

Abîmes poétiques : le forum » Vos textes (publication libre) » Archives : avril - septembre 2004 » PRINCESSE DE MES NUITS « précédent Suivant »

Auteur Message
Poète 77
Envoyé mercredi 21 avril 2004 - 11h32:   

PRINCESSE DE MES NUITS

Quand je te vois dormir, princesse de mes nuits
Tout mon cœur s'émerveille et frôle l'infini !
Tu es vraiment trop belle et tu me fais vibrer
En venant te blottir dans les bras de Morphée…

J'aimerais tant te voir étendue sur mon cœur
Te fondant à son rythme, y goûtant le bonheur;
Je t'offrirais ma vie ainsi que tous mes jours
Afin qu'à ton réveil tu découvres l'amour.

Quand je te vois dormir, princesse de mes nuits
Tout mon cœur s'émerveille et frôle l'infini !
Tu es vraiment trop belle et tu me fais vibrer
En venant t'allonger dans les bras de Morphée…

Le soleil a pointé, orgueil d'éternité,
Ses rayons enchanteurs et sa douce clarté
Sur ton corps endormi et pourtant si fragile,
Pour que naissent en toi des rêves plus faciles.

Quand je te vois dormir, princesse de mes nuits
Tout mon cœur s'émerveille et frôle l'infini !
Tu es vraiment trop belle et tu me fais vibrer
En venant t'installer dans les bras de Morphée…

À toi astre d'amour ce grand rôle éternel
De redonner la vie à la femme si belle
Qui est étendue là, dans ce jardin de fleurs,
Afin que d'un regard je lui offre mon cœur.

Quand je te vois dormir, princesse de mes nuits
Tout mon cœur s'émerveille et frôle l'infini !
Tu es vraiment trop belle et tu me fais vibrer
En venant t'endormir dans les bras de Morphée…

Tristesse te voilà, larme du désespoir,
Tu envahis mon âme épousant la nuit noire,
Car toi belle princesse en venant à mourir,
M'as dis ces derniers mots: " Ton rêve doit finir…"

Je ne te verrais plus, princesse d'une vie
Mon cœur sanglotera, frôlera l'infini !
Tu étais bien trop belle et me faisais vibrer
En venant t'évanouir dans les bras de Morphée…

Ce doux rêve envolé restera à jamais
Au fond de mon esprit un doux rêve de paix !
Reviendras-tu un jour à l'aube de mes nuits,
Remplir mon cœur d'amour et de tendres folies ?

© Serge LAINÉ
JG
Envoyé mercredi 21 avril 2004 - 17h44:   

Ah ! Ben moi...

J’avance les yeux fermés, dans cette nuit de chien…

J’avance en attendant l’amour, ma muse...

Ma muse qui me dévale… accroché… au destin…
Pas celui là…L’autre !
Celui qui marche seul…
Celui qu’on ne rencontre pas..

Lui…Mon destin et ma muse
Aux olympiades de mon nombril

Avec mes mises à l’heure… dans la broussaille bi-journalière d’une extraction de verbes, à se prêter des mots.

Lui…Mon destin et ma muse d’une autre destinée
Dans la sensualité, des gestes imaginaires
L’autre partie de moi, dans les matins d’un autre.
De l’autre coté des mots

Elle et cet autre…
Elle et ma triste vie
Dans l’invisible monde
Avec la sénescence de ma chienne de peau.

Elle… Ma muse
Elle… Des toujours…Ma muse démuselée, dans les passages étroits de mes lignes de mire…

A ses seins libérés..
Son ventre disponible
Dans l’ombre cavalière des draps d’un autre lit…

A sa bouche rassasier…de fleurs, à fleur de peau… Au centre des écumes…

A ses lèvres abusées, dans ses rêves à distance
Dans la syntaxe que j’injecte …

Quand se pointe mon verbe
Quand se pointent ses gorges, au piano de mes doigts…

Ma muse comme la mer, haute dans ses trafics… Dans sa petite mort

Ma muse comme au jusant…
Qui me va
Qui me vient
Dans mes mains… Dans le vide…
Et qui meure d’encore…

Ma muse quand tout fout l’camp
Dans un gris cathédral

Ma muse, moi et mon chien et le temps qui m’affale

Ma Muse, Moi et mon âge, comme un vieux chien qui dort…

Avec sa voix dissimulée, derrière mes mains aveugles
Dans nos petits papiers pliés sur l’écriture

Aux semblants, sans nos gestes

Dans nos mises à l’épreuve des hallucinogènes… Des voyages en dedans !

Dans nos espaces intimes, humés d’imaginaire, où l’inconscience oblique, du coté d’un Ailleurs
L’autre coté de nous, l’autre coté des heures, à supporter le temps, d’infiniment sans elle, aveugle et sans sa voix

Tellement loin… tellement va !

Avec les mots que l’on avale, ruisselant nos murmures
A nos langues diluées des éclats de silence
Avec nos pouls synchronisés... aux rythmes des horloges

De nous… sans elle, sans moi…
Moi et ma muse…
Dans la géométrie des gouffres horizontaux, nos yeux ouverts à l’aventure, d’une insatisfaction.
A peindre l’immobile…
Un rêve
Un sentiment
L’amour invulnérable
Quant tout semble d’encore
Presque de vérité…

Lorsque la nuit remue, d’effondrement du jour
A ces ruelles trop sombres d’un héros sous la lune…
Tellement tout,
Quand elle vient
Quant tout s’en va…
Aux rythmes incessants de la marche du monde

Aux lignes
Aux écritures… A peines imaginaires, qui parlent que de nous…
Comme un rêve rêvé…
D’Amour…
A pas de loup.
fadoua
Envoyé lundi 21 juin 2004 - 21h38:   

voila pourquio je pleure
quand j etais un petit enfant
mon souhait etais de grandire
quand j etais un bon etudiant
mon unique souçi était de réussir
aujourd'huit je suis un homme
je veux vivre avant de mourir,mais ce que je veux
n existe pas, ce que je veux et loin de mes pas
ni avenir ni emploie
j' ai perdu mon rève et ma voie
dans cette vie pleine de doisireté, et son choix je suis q un pauvre chomeur; je n ai rien a faire
pendant le jour, dans les cafés je passe
mes lonques heures
ça me touche le coeur, toujour
voila pourquoi je pleure

Message:
Identificateur : Information d'envoi:
Cet espace est réservé. Seuls les utilisateurs inscrits et les modérateurs peuvent y écrire des messages.
Mot de passe :
Options: Code HTML non valide dans un message
Activation automatique d'URL dans un message
Envoyer:

Thèmes | Depuis hier | La semaine dernière | Vue d'ensemble | Recherche | Aide - Guide | Crédits programme Administration