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Moimeme
| Envoyé lundi 19 avril 2004 - 4h31: | |
Obliques dégénérées au milieu d'espaces vert dans les ventre mou creux de dirigents séveres, je vis, triste et béant dans les lueures ameres de la rigueure tordantes de poetes perveres; accrocs des rimes croisées et des vers enlacés. A quoi bon mou réveurs vous etendre sur vous, vos amour et vos haine quand passe a vos détour tans de sourirs en chaines, tant de délires éteint par des hommes illégaux, dans le cadre ferreux de ses lois éttoufantes, de matheux grammairiens qui s'unissent en leur antres. Sourirs subtiles au milieu des ténebres doux reveurs assombris a l'abris de la peine mais jamais d'un sourir, évanoui par miliers dans vos champs idiliques je mord a tout bout de dent ceux qui crevent les ames et contraignent les coeurs... |
LARM
| Envoyé lundi 19 avril 2004 - 11h02: | |
"Ce n'est pas la poésie qui est libre, c'est le poète !" (R.Desnos) L. |
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