Colibri (Intervenant non inscrit)
| Envoyé mardi 31 janvier 2006 - 17h35: | |
le jour sous l'eau durcit les vagues sont sans fin haché flux de la mer offerte à mains bruissait ongulés doigts de la mer en qui l'air se jouait sanglots étanches d'eaux au soleil poussent à son coucher nous portions l'horizon nous étions son nouveau tu aimais son hoquet devant là tu palpais une étoile disais-tu..... fascinée sur la nuit de la mer tes seins devenus fées s'écartaient de leurs cris sur le front s'assemblaient mon amour ô toi qui sur nos peurs te taisait tu disais ferme ses charnues dunes abreuvées tu courais tu ramais |