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André Carruzzo (Dreas)
Identificateur : Dreas

Inscrit: 1-2005
Envoyé samedi 05 mars 2005 - 10h08:   

Les poèmes intérieurs, inaudibles ici-bas,
résonnent en quelque étage des cieux.
Au premier ciel murmurent les lunaires.
L’hymne solaire éclate au quatrième.
Les plus éclairants chantent tout en haut,
poèmes secrets qui touchent au silence,
puis en sont faits.
Tm (Tm)
Identificateur : Tm

Inscrit: 1-2005
Envoyé lundi 07 mars 2005 - 13h40:   

Joli métapoème, par ma foi! C'est vrai que de ce côté-ci de la lune, l'harmonie est rare!
Rienadire (Rienadire)
Identificateur : Rienadire

Inscrit: 2-2005
Envoyé mardi 08 mars 2005 - 13h23:   

"inaudibles ici-bas"....
sauf à ceux qui ont "des oreilles pour entendre" (évangiles) ou "ceux qui sont doués d'intelligence" ( Coran), intelligence n'étant pas à confondre ici avec le seule raison discursive...
merci André Carruzo pour ce méta poème
André Carruzzo (Dreas)
Identificateur : Dreas

Inscrit: 1-2005
Envoyé mardi 08 mars 2005 - 15h13:   

Je n’avais pas songé à l’Evangile ni au Coran. Mais il ne nous vient peut-être pas toujours à la conscience que les aliments dont on se nourrit deviennent peu à peu notre sang.
Dans mon intention, le texte n’a rien de “méta”. Il reprend simplement (et maladroitement, trop schématiquement, à la relecture), il reprend, en tâchant de l’appliquer à la poésie, l’idée traditionnelle que les différentes sphères célestes symbolisent AVEC les différents états intérieurs de l’être humain, comme les moitiés d’un objet coupé en deux coïncident l’une avec l’autre lorsqu’on les rapproche; c’est ce que signifie le mot “symbole” en grec.

-“inaudibles ici-bas” - c’était sous-entendu dans la comparaison, pensais-je - veut donc dire : “inaudibles à l’extérieur de soi”. Et, pour en revenir à l’Evangile, tu as raison : celui qui prête l’oreille à la Parole sans l’intérioriser ne l’entend pas. Cependant, je n’ai pas du tout visé si haut.
M-C Escalier (Mariechristine)
Identificateur : Mariechristine

Inscrit: 12-2003
Envoyé mercredi 16 mars 2005 - 20h49:   

Moi, ça m'a rappelé Dante et ses cercles de l'Enfer et du Paradis.
Je ne trouve pas ton poème maladroit du tout, la transposition à la poésie fonctionne. Mon seul regret est qu'il soit si court

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