erika.nargil (Abaca)
Identificateur : Abaca
Inscrit: 4-2004
| Envoyé dimanche 16 janvier 2005 - 19h14: | |
A la fin du dernier soir, de la saison d’été J’ai décidé résignée; de regagner la commode Pas commode c’est vrai, mais pourquoi l’ode ? Je voulais traverser ce monde des poèmes oubliés * J’ai grimpé difficilement, sur ces tiroirs du silence Au premier je me suis retrouvée, sur les photos De cette nostalgie qui vous blesse votre tempo Passé, me déçois-tu, j’ai perdu, tant de patience * Courage! Tu trouveras ton coin de repos, là haut Cela me fatigue, ces factures à mes cotés je ruine Misère ne soit pas mon amante, laisse moi je fouine Je veux trouver la paresse, dans mes beaux oripeaux * Bonjour mes amies! Lettres d’amour on s’associe ? C’est triste de ne plus se dévoiler, précieuses lettres Quoi ! Toi la petite dernière tu es vielle, tu n’est plus être D’amour rejeté dans ce fond, te voilà toi aussi dans l’oubli * Ce n’est pas grave, je me couche prés de toi, nous raconterons Nos soirées merveilleuses, où nous étions, cette attention On nous caressait, nous embrassait, de ces pures satisfactions Coup de coeur disaient ils, on le croyait nous les poltrons * Qu’il est doux de me coincer contre vous, un peu d’amour Gouttes d’eau oubliées, on se tache du sang, des résignées Non ne pleurez pas, ils vous reliront, un jour de grande bonté Ils se rappelleront, ce don de vos bonheurs, scellé en retour * Belles lettres pensez vous, que je dusses attendre, la fin de l’hiver ? Pour à nouveau, réchauffer les cœurs, de ces gens accueillant Timidement je tente de sortir ; de mon puit du désagrément Puis t’il apporter à chacun ce désir, d’entretenir gai, tous mes vers **** |