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Nao (Nao)
Identificateur : Nao
Inscrit: 6-2004
| Envoyé vendredi 11 juin 2004 - 14h21: | |
Chaque univers coulait sur terre de boue sel et larme quand se reveillait hideuses les armes... Chaque espaces dissimulait ton nom, Cent dix mille taches disséminent l'arme et l'affront Tes lents plats fonds hécatombes, fondent sur les champs de pelotes de blanc, sur les prairies de poètes jaunies Et le sol pompe mon sel quand la roue je partage avec les fous.. Brisant là l'élan tendue des souvenirs d'enfants... |
Nao (Nao)
Identificateur : Nao
Inscrit: 6-2004
| Envoyé lundi 14 juin 2004 - 9h50: | |
Chaque univers coulait sur terre de boue sel et larme quand se reveillait hideuses les armes... La prairie éteint sa parrure capture sa fatigue atteint les fissures de la surface de ce monde qu'on peut toucher quand il nous réfléchi ce que l'on savait caché l'écrit de cet instant Etole de temps Epure du passé au futur présenté Sainson conjugué par le jardinnier Et cette très longue pause achève les tués révèle la paix force ensevelie Et se relève des tas d'ames prisonnières des pauvres canons de tants d'armes Et à 360 autour de la faïence de ces yeux de lecture Tous les esprits dormants Réveillent, un infini de pure |
Nao (Nao)
Identificateur : Nao
Inscrit: 6-2004
| Envoyé lundi 14 juin 2004 - 10h37: | |
Chaque jour, L'existence lance sa détresse, aux sens du monde éteint L'intérêt perdu pour le matin Détresse; fatigue, mer de désert d'histoires qui s'ensablent Existence; fruit, souffrance du futur présent et qui passe Lance; c'est étrangler le vent griffer le jour pour le compter Aux sens, qui saît, sage, la langue de l'idiome, la lie des hommes... Chaque terre réveille l'univers des boules d'armes quand coule frileuse les larmes... |