Katia (Intervenant non inscrit)
| Envoyé jeudi 25 novembre 2004 - 21h18: | |
Je mets les voiles dont la trace serpente et voltige Geôlier de mon cœur s’associe au vent qui tourne Et l’amour soucieux de contagion donne le vertige Estampages chevaleresques que le vide ajourne Je plante l’espoir en souhaitant qu’il fleurisse Telle une fleur mes mots s’effeuillent en lettres Ivresse et ravage intraduisibles me ravissent Jardinière de peinture et noble osmose de l’être ton corps me mets en vrille de volupte véhémence Que de riches peuplades et jamais qu’un seul être la fluidité des mains dans la séduction du silence, comment chercher à être si ce n’est l’innocence |