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personne
| Envoyé samedi 19 juin 2004 - 2h26: | |
j'ai longtemps espéré qu'elle vienne me chercher, longtemps attendu qu'elle se souvienne de moi. je sais qu'un jour tu m'amènera avec toi, un jour tu sauras tout, tu sauras la vérité. tu sauras que je t'ai trompée, mise de côté. pardonne moi, je suis désolée d'avoir changé. mais c'était légitime, 'éais trop jeune. j'ai tellement désiré que tu me reprennes. j'ai pris goût à la vie depuis toi, malgré moi. j'ai pris goût à la vie pour renoncer à toi, je t'ai laissée pour reprendre goût à la vie. encore une fois pardon d'être encore ici, je n'avais pas le choix et je sais que tu sais. pourtant il y a encore un mois je t'ai appelée, mais tu n'étais pas là, dans un autre esprit par chance. pour moi, pas pour ta proie qui attend sa renaissance... connais-tu la tristesse, l'amour ou la honte? non, aucune de ces émotions ne te hante. tu n'as ni coeur, ni scrupulen ni la moindre peine. tu n'as pas été créée afin d'être humaine. je sais, tu n'y es pour rien, c'est ta raison d'être. la Terre entière te porte en elle, partout. certains te provoquent sans le laisser paraître, d'autres te prennent pour le pire des gourous. certains te redoutent, d'autres te chérissent. selon moi tu n'es qu'n instrument, pas le moindre, mais pas le pire. rends-toi compte, tu n'auras jamais rien à craindre, tu prendras le dernier homme, le dernier d'entre nous. tant que la vie deumeurera, tu règneras. et tout l'univers est assez grand pour vous deux. quant à nous on se verra mais attends je t'en pris, ce n'est pas de la peur, juste un peu de répis... septembre 2003. |
athenais
| Envoyé samedi 19 juin 2004 - 17h37: | |
l amour est un liquide epais et gluant pareil a notre indispensable sang on se libere doucement de l amour quand il deviend trop oppressant comme on se vide de son sang parce qu il de vient malsien et violent je me suis accrocheé a toi,mon emoi moi la blanche colombe aux ailes bruleés ne voulant pas tombeé de son arbre perché don t la douceur des feuilles me redonner la foi mais un soir d automne , le vent s agitait la pluie tombait acide et tranchante chaque goutte tombant ,en moi ressonnait soudain : la nuit devenu sanglante une branche se tordu et se brisa l oiseau resuscité S envola ATHENAIS " resurection"
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