Auteur |
Message |
Admin (Admin)
Identificateur : Admin
Inscrit: 1-1997
| Envoyé vendredi 09 avril 2004 - 1h25: | |
|
Poète 77
| Envoyé vendredi 30 avril 2004 - 21h56: | |
Après avoir fauché les blés la matinée, Je m'assoupis enfin près de ma bien aimée...
|
Ava Noor
| Envoyé samedi 08 mai 2004 - 5h42: | |
Couchons côte à côte nos corps alanguis Sous les feux du midi Qu'ils s'embrasent aux ocres bleuies Sous le ciel de lit de nos folles envies. |
Anonyme
| Envoyé samedi 08 mai 2004 - 11h08: | |
La paille s'embrase qu'est-ce qu'il fait chaud Terrain de stase Dans un fourneau |
Morgane
| Envoyé lundi 10 mai 2004 - 9h11: | |
Que fauche la serpe de nos ennuis Aux reflets d'or et de brise romanesque Que passe le temps des oublis Et ne demeure que songe, étreinte et fresque
|
nao
| Envoyé lundi 10 mai 2004 - 12h59: | |
le soleil colle au ciel sa transpiration poisseuse et les immobiles tourbillons bourdonnes aux bosses de miels et l'étoile tendue attend son heure commes ces faucheurs sur la toile étendus |
wstorm
| Envoyé vendredi 04 juin 2004 - 22h55: | |
j ai des penséent sous cette paille y sont passé mes je ne regrette pas d etres lassé de ne plus jamais coupé ce foins moullier. |
Annel (Annel)
Identificateur : Annel
Inscrit: 7-2002
| Envoyé mercredi 09 juin 2004 - 20h15: | |
Miel d'été Foins fauchés Amours allongés Les corps siestent
|
Annel (Annel)
Identificateur : Annel
Inscrit: 7-2002
| Envoyé mercredi 09 juin 2004 - 20h17: | |
Transat rouge Sous l'éclat du soleil Eté-coquelicots rouges |
Anonyme
| Envoyé jeudi 10 juin 2004 - 13h01: | |
********************* sacrum face Petites gens du labeur sacrum face Multitude ordinaire t’usant jusqu’à la corde t’échinant à l’ouvrage accablée brisée rompue et sacrifiée Je croise tes yeux ternis et ton regard éteint aucun écho aucun espoir seul le souffle secret des sentiers escarpés seule la capitulation lente dans les jours qui s’égrènent Tendresse tes mains usées tes guenilles à trois sous et tes chaussures de pauvre Tendresse tes rêves fauchés ton horizon d’un jour Tendresse ta dignité sourde et ta fierté vaincue Ton visage dégrafé est coquille de lumière Et mon buisson ardent *********************
|
A.Maraja
| Envoyé samedi 17 juillet 2004 - 0h19: | |
je ne suis pas allongé dans l'ovale niche chaleureuse qui prend congé de mes fatigues je m'entretiens dans le désert sous le ciel jamais étale Et d'aventures en aventures je mourrais de mes fatigues |
Anonyme
| Envoyé dimanche 18 juillet 2004 - 18h05: | |
S'ils sont étendus c'est dans l'or fourmillant des étreintes où une larme tient lieu de plaisir dans le reflet des yeux dont la couleur est dissimulée... |
franz (Franz)
Identificateur : Franz
Inscrit: 9-2000
| Envoyé dimanche 18 juillet 2004 - 20h15: | |
Bleus et mordorés La vache broute les herbes Les glaneurs reposent |
Anonyme
| Envoyé mercredi 28 juillet 2004 - 18h00: | |
mélange de couleurs tu m'appaises sous cette douce chaleur nous a l'aise ce jaune illumine mes yeux ces gens mon coeur car il sont enfin eux après ce dur labeur illuminé par le travail il se retrouve sur la paille pour enfin partager un moment inespérer l'oxmose y apporte le repos toute ces choses qui le rend si beau alors le fruit récolter apporte la sérénité |
Anonyme
| Envoyé jeudi 29 juillet 2004 - 11h49: | |
********************* autrefois harmonie les corps repliés gourds concave et convexe dans l’œil bleu en amande Vincent déposait une couleur dans l’autre la vague douce suspendue et le geste enveloppant son regard transcendait les paysans prétextes et déposait le couple en apesanteur flottante jouait d’un coin d’ombre dans la fournaise d’or aujourd’hui là un mètre les sépare et des années lumière le jour et la nuit des enfants à nourrir et des enfants à naître des mots vains des silences une sourde indifférence et la vie qui s’en va aujourd’hui le centre de la toile se situe au-delà dans la pleine lumière du champ offert loin des clichés confinés l’œil s’est déplacé pour mieux respirer derrière la meule il y a l’horizon il y a la promesse l’échappée cristalline et solitaire le firmament moins bleu plus doux plus vrai et quelque part un chemin d’insouciance et de quiétude plus loin ********************* |
Annel (Annel)
Identificateur : Annel
Inscrit: 7-2002
| Envoyé mardi 01 janvier 2008 - 19h18: | |
Transat sur lit Pailles en feu Sommeil d'envie |