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Nao (Nao)
Identificateur : Nao
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| Envoyé lundi 19 septembre 2005 - 13h56: | |
Nous n’irons jamais en haut de ces branches Blanches qui dorment au sommet de ces arbres immenses, Les nervures de ces feuilles et leur phrases des cimes Sont trop loin de nos yeux pour qu’ils captent leur signes Ce temple-nuage brille dans la nuit Sur ce baobab, immortel fruit Il nous est défendu non par décret Tout simplement parce qu’il est au sommet |
Nao (Nao)
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| Envoyé mercredi 12 octobre 2005 - 18h18: | |
Au dessus encore un reflet tinte Une aile s’élide avec le ciel Une seule, les autres sont trop vieille Poussière - brouillon, nuit cousu au décors S’ouvre entre les feuilles, infini en balance Majuscules en pointillés sur un amas de traits L’arbre infini, de son sommeil unique danse Et les mots se font, se déforme à la poudre de craie Dans des chaussons de mousses à l’ombre tachetée des secrets |
Nao (Nao)
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| Envoyé mercredi 12 octobre 2005 - 18h20: | |
- Ou alors - Au dessus encore un reflet tinte Une aile s’élide avec le ciel Une seule, les autres sont trop vieille Poussière - brouillon, nuit cousu au décors S’ouvre entre les feuilles, infini en balance Majuscules en pointillés sur un amas de traits L’arbre infini, de son sommeil unique danse Et les mots se font, se déforme à la poudre de craie Dans des chaussons de mousses à l’ombre tachetée du sort |
Nao (Nao)
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| Envoyé jeudi 13 octobre 2005 - 15h28: | |
Au dessus encore un reflet tinte Une aile s’élide avec le ciel Une seule, les autres sont trop vieille Poussière - brouillon, nuit cousu au décors S’ouvre entre les feuilles, infini en balance Majuscules en pointillés sur un amas de traits L’arbre éternel, de son sommeil unique danse Et les mots se font, se déforme à la poudre de craie Dans des chaussons de mousses à l’ombre tachetée du sort |
Nao (Nao)
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| Envoyé vendredi 14 octobre 2005 - 14h11: | |
Les fines branches longues aux doigts opaque Brillent sous la nuit du phare, Et du fond de la forêt profond comme un lac, Semblent des mirages troubles de nénuphars Ces précieux filtres a désespoir Brisent tous les dés jetés Qui coulent dans ces broussailles Pour que seul flotte l’espoir… |