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hippies
| Envoyé jeudi 08 juillet 2004 - 17h32: | |
Quand la vie te malmène Et que passent les semaines, Ton amour qui s'achève Se meurt aux premières lueurs du crépuscule Se dilue dans une phrase minuscule Détruisant avec certitude ton ultime rêve Toutes ses larmes Dépourvues de charme Tu prenais soin de les dissimuler Aux regards de ton entourage Par fierté, Tu n'as lancé aucun message De peur d'être incompris... Quand la vie te malmène Et que passent les semaines Aucun amour à l'horizon Te cloître dans ton immense prison En mettant un terme à tes habitudes En te réfugiant dans ta solitude Ta vie...tu as fini par la haïr Ce besoin démesuré d'amour Si profondement éprouvé Mais si souvent refoulé N'a fait que croître..., grandir... As-tu réellement fini d'y croire ? Pour toi n'existe-t'il plus aucun espoir ? Enfin tu me souris La vie n'est pas ton ennemie Après avoir essuyé les bourrasques du malheur La vie va enfin souffler sur toi sa brise du Bonheur. |
JG
| Envoyé jeudi 08 juillet 2004 - 19h43: | |
Quand je t'imagine Comme un chagrin humé autour de tes messages Loin de mes bras noués… Et toi … marchant pieds nus Avec ta porte close... Comptant chaque passage Les soirs où tu t’isoles Où rien ne te console Quand les mots ne sont plus… Aux heures du passé… Où tu te cherches encore La volonté d’écrire… Un cri comme étouffé A rallumer la flamme... Brûlant dans tes décors Un secret qui te hante... Dans tes yeux d’un reflet L'écrit de ton passé... D’aubes grises des tempes Jusqu’aux vagues des draps… Froissés de tendres jeux Faits d'empreintes… Et de gestes… Au miroir où tu trempes Et du bleu d’une chambre Dans sa vague pour deux D’oubli jusqu’au matin… Le jour drapé de vide Loin de tant d’autres vœux, où d’autres nuits s’étalent Avec tes sols fondus... Baignée d’ombres liquides Aux commissures d’un rêve... Un passé pour que dalle Au carrefour de rien… dans un journal d’hier Sous clé dans tes armoires... Aux lettres tant ouvertes Tant d'heures imaginaires Quand le blues vient te voir Et toi… qui n’entends plus |
Nao (Nao)
Identificateur : Nao
Inscrit: 6-2004
| Envoyé vendredi 09 juillet 2004 - 9h04: | |
il y a du leo férré dans ce poeme... |
JG
| Envoyé vendredi 09 juillet 2004 - 12h41: | |
Ah bon ! Où ça ? |
Nao (Nao)
Identificateur : Nao
Inscrit: 6-2004
| Envoyé vendredi 09 juillet 2004 - 13h59: | |
Ton texte me fait penser à la chanson la mer mais quand je dit qu'il ya du ferre c plutot un compliment |
Anonyme
| Envoyé dimanche 11 juillet 2004 - 19h54: | |
Comme son froides mes nuits, Grise est ma vie Et mes jours moroses et infinis Quand tu part et tu me laisses Dans les bras de ma tristesse Avec l'ennuie Pour seul et unique ami!!! Quand toutes les fleurs perdent leurs couleurs Et les visages autrefois fleuris se fanent et devienent abrutis Et sans visage! |