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Axel (Axel)
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| Envoyé dimanche 20 février 2005 - 12h52: | |
culs serrés devant un quatuor de Fauré vents indésirables |
André Carruzzo (Dreas)
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| Envoyé dimanche 20 février 2005 - 15h52: | |
Ça arrive, eh oui ! Et, le système olfactif incommodé, on n’entend presque plus la musique. |
Axel (Axel)
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| Envoyé dimanche 20 février 2005 - 16h15: | |
c'est une lecture, il n'y a pas forcément de vents: je trouvais comique cette image de gens guindés (donc "culs serrés") qui se retiennent pour ne pas faire de bruit ou de fausses notes (car les quatuors de Fauré sont des quatuors à cordes donc pas de vents). |
André Carruzzo (Dreas)
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| Envoyé dimanche 20 février 2005 - 16h44: | |
Ah bon ! Dommage... J'avais cru. |
Axel (Axel)
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| Envoyé dimanche 20 février 2005 - 19h14: | |
Mais tu avais bien cru! J'ai écrit le dernier vers pour qu'il admette deux interprétations : soit "il y a des vents indésirables", soit "les vents sont indésirables" et une troisième qui se superpose aux premières "les vents (instruments) sont indésirables". |
Axel (Axel)
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| Envoyé samedi 26 février 2005 - 18h53: | |
sans son île et tête une berge et un héron petits pas harpon |
Axel (Axel)
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| Envoyé samedi 26 février 2005 - 19h39: | |
il aurait fallu 2 espaces entre son et île |
André Carruzzo (Dreas)
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| Envoyé dimanche 27 février 2005 - 14h13: | |
N'y comprends rien. Malgré ton explication. Ou bien serais-tu un chasseur ? |
André Carruzzo (Dreas)
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| Envoyé dimanche 27 février 2005 - 14h19: | |
après-midi froid un oiseau en son motet dit son déplaisir |
Axel (Axel)
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| Envoyé dimanche 27 février 2005 - 14h34: | |
D'abord c'est le silence, puis je vois le bord d'une petite île et une tête qui dépasse, ensuite l'image se précise: c'est la berge d'un fleuve et un héron. Petits pas du héron: malgré ses grandes jambes, on a toujours l'impression qu'il fait de petits pas. Harpon(=le héron qui lance sa tête et son bec en avant pour prendre un poisson)-> métaphore donc pas vraiment en accord avec les règles de l'haiku. Il y a aussi des 'à-peu-près' : chanson-> sans son "il était une bergère et ron et ron petit patapon..."->île et tête une berge et un héron petits pas harpon |
André Carruzzo (Dreas)
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| Envoyé dimanche 27 février 2005 - 21h09: | |
Bien, bien ! Mais ton explication est absolument nécessaire. |
Tm (Tm)
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| Envoyé mercredi 09 mars 2005 - 14h23: | |
Au parvis des nues fulgurantes harmonies la bise organiste. |
Tm (Tm)
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| Envoyé vendredi 11 mars 2005 - 13h12: | |
Visions symphoniques pulsations jubilatoires ta musique, Anton! |
Tm (Tm)
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| Envoyé lundi 16 mai 2005 - 14h43: | |
Mélancoliques hautbois violons d'onde pure la pâte de Sibelius. Scherzo satirique Picasso de la musique tel est Dimitri. Le moyen de rendre compte de tels univers symphoniques par des haïkus? |
André Carruzzo (Dreas)
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| Envoyé lundi 16 mai 2005 - 19h06: | |
Pas pour rendre compte d’œuvres symphoniques comme celles de Sibelius ou de Chos-takovitch. Ce n’est pas son but (celui du haïku), me semble-t-il, et ce n’est pas dans sa nature. Mais il y a, dans notre environnement, des sonatines et des ariettes plus en affinité avec les 17 syllabes du fameux tercet ; ariettes ou syllabes qui, d’ailleurs, peuvent, parfois, avoir des résonances d’une ampleur symphonique, précisément. |
André Carruzzo (Dreas)
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| Envoyé lundi 16 mai 2005 - 19h13: | |
Je ne suis pas un spécialiste du haïku.Ce n'est, ci-dessus, que mon opinion. Et, comme on le sait, l'opinion de quelqu'un ne vaut pas plus que l'opinion d'un autre. |
Tm (Tm)
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| Envoyé jeudi 26 mai 2005 - 13h38: | |
Tout en haut des crêtes je t'ai vu marcher, Anton et puis t'envoler. |
André Carruzzo (Dreas)
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| Envoyé lundi 11 juillet 2005 - 11h59: | |
musique de l’air suavité en laquelle glissent les oiseaux |
Roger (Intervenant non inscrit)
| Envoyé lundi 24 juillet 2006 - 11h53: | |
Floc ! une goutte ici Flic ! Flac ! deux gouttes là-bas Chanson sous la pluie. |
André Carruzzo (Dreas)
Identificateur : Dreas
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| Envoyé samedi 26 août 2006 - 19h00: | |
Montagne tranquille Chant des torrents, des cascades Mélodie du vent |